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Malgré la résurgence de certains mouvements nationalistes, y compris la montée en puissance de l’extrême droite en France et aux États-Unis, notamment, la majorité de la population occidentale a peu à peu élargi sa vision de l’identité nationale. Selon un récent coup de sonde du Pew Research Center, cette vision est partagée autant aux États-Unis qu’en France, en Allemagne ou au Royaume-Uni. La connaissance de la langue officielle demeure toutefois un facteur très important pour l’acceptation des nouveaux arrivants dans ces pays.

En dépit de la campagne de vaccination en cours en Grande-Bretagne, le nombre d’hospitalisations et de décès liés à la COVID-19 pourrait, en 2021, y dépasser le total de 2020, si les mesures de confinement sont levées trop vite, selon une évaluation des effets du variant britannique publiée mercredi.

À quelques jours de l’éclatement de la Deuxième Guerre mondiale, une bonne partie du Royaume-Uni (et du monde) est encore engluée dans la vie d’avant. Celle de l’entre-deux guerres. Dans The Dig, c’est cette époque disparue qui refait surface… et de plus d’une façon.

Les choses se présentent mal sur le front des variants du virus. La version « britannique » pourrait devenir dominante aux États-Unis dès le mois de mars, selon la première estimation de la vitesse à laquelle celle-ci se propage. Et les essais d’un des vaccins ont été temporairement suspendus en raison de craintes sur son efficacité face au variant sud-africain. 

Trois quarts de siècle après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, et la création, quelques mois après la reddition du Japon, de l’Organisation des Nations unies, l’idée de la coopération internationale est toujours d’actualité, révèle un grand sondage du Pew Research Center. Cette idée de collaboration entre les pays est même associée à un bilan moins lourd de la pandémie de COVID-19.

De moteur de croissance à création maintenue en vie au prix de très importants efforts: la pandémie de COVID-19 aura réussi, en quelques mois à peine, à complètement chambouler la perception des économies nationales de 14 pays répartis un peu partout dans le monde, révèle une récente enquête du Pew Research Center. Ainsi, seuls 31% des adultes sondés estiment que la situation économique est bonne, actuellement, contre 68% qui pensent le contraire.

Nouvelle-Zélande, Taïwan, Allemagne, Norvège, Finlande, Islande… Qu’ont en commun ces pays? Ils ont plutôt bien réussi à contrôler la pandémie. Ils sont aussi dirigés par des femmes. Peut-on réellement faire ce lien?  Le Détecteur de rumeurs nuance.

La pandémie de COVID-19 a frappé, et frappé fort: pourtant, ce ne sont pas tous les pays qui ont utilisé les mêmes méthodes de gestion, pas plus qu’on y trouvait les mêmes facteurs pouvant venir améliorer, ou au contraire, aggraver la gestion de cette crise sanitaire sans précédent depuis un siècle. Selon un récent rapport publié pas The Economist, c’est sur le Vieux-Continent que l’on trouve certains des plus mauvais élèves en la matière.

À l’aube de la deuxième guerre d’Irak, Katharine Gun, une analyste du GCHQ, l’agence de surveillance du Royaume-Uni, a transmis une note de la NSA américaine demandant que l’allié britannique serve à faire pression sur les autres membres du Conseil de sécurité des Nations unies pour obtenir une résolution favorable à l’invasion réclamée par Washington. Le récit de ce geste et des conséquences qui en découlèrent se retrouve dans Official Secrets, un docudrame sorti l’an dernier.

Un recul plus important que lors de la crise financière de 2008: selon un nouveau rapport du magazine spécialisé The Economist, les impacts de la pandémie de coronavirus sur l’économie mondiale vont faire mal, très mal. Y compris au Canada, dont l’économie devrait se contracter d’environ 5% au deuxième trimestre de 2020.