Le cinéaste André Forcier fait ressurgir le frère Marie-Victorin (1885-1944) dans le contexte de la lutte environnementale contemporaine, avec son dernier film Les fleurs oubliées, une trouvaille intéressante.
Qualifié de misogyne, à tort, parce qu’il racontait des histoires d’amour hétérosexuelles, est l’une des bribes que nous largue le cinéaste André Forcier au long du moyen-métrage Des histoires inventées (2018) de Jean-Marc E. Roy. Projeté à la Cinémathèque québécoise dès le 25 janvier, le documentaire donne envie de revoir la cinématographie indélébile.