Facebook est la plus importante plateforme, lorsque vient le temps de partager de fausses nouvelles; le réseau de Mark Zuckerberg représente plus de la moitié des gens partageant ces mensonges dans chaque pays sondé.
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Pour ce qui est de la désinformation, « même s’il y a une amélioration par rapport à l’ancien programme sur tout ce qui est vie numérique, esprit critique face aux médias, la place dans le curriculum est encore très faible ».
Il est bel et bien possible de connecter deux personnes qui ne se connaissent pas, grâce à un nombre limité d’intermédiaires. Les réseaux sociaux ont probablement diminué le nombre de personnes qui nous séparent les uns des autres.
En raison de la radicalisation croissante aux États-Unis, de l’appui en déclin en faveur des normes démocratiques, et l’augmentation de l’appui envers la violence politique, les inquiétudes à propos des biais politiques sur les médias sociaux sont valides, peu importe la taille des groupes qui afficheraient ces biais.
Les chercheurs affirment que le simple fait de faire disparaître les groupes les plus extrêmes ne réglera pas le problème de la désinformation.
Pour les auteurs de la recherche, l’abondance d’images de la nature ou de jeunes en train de faire du sport dans la nature, contribue à « forger la discussion publique sur le climat, les carburants fossiles et la transition énergétique ».
« Vous devez sentir que vous avez un filet de sécurité. »
Les résultats ont démontré que dans le contexte du clavardage tournant au flirt, les participants fantasmaient davantage à propos des partenaires alternatifs, et exprimaient davantage de désir envers ceux-ci.
L’hésitation, rappellent des chercheurs, ne doit pas être confondue avec l’antivaccination: « La période d’hésitation et d’indécision est un moment de vulnérabilité, autant que d’opportunité. «
73 % des jeunes suivent au moins un influenceur sur les réseaux sociaux ayant déjà exprimé des opinions anti-scientifiques.