Edwart Berger lève le voile sur les manigances, les manipulations et les luttes de pouvoir se déroulant entre les murs du Vatican, lorsque vient le temps de remplacer le pape.
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Même si on peut comprendre pourquoi le chef Slowik déciderait de tuer une douzaine de personnes pour se venger d’une carrière entière de tourments, le film se termine et l’on se dit que The Menu est bien, mais pas renversant.
Ce ne sont pas les artifices visuels qui sauveront un ou plusieurs films au scénario plus que bancal.
À quelques jours de l’éclatement de la Deuxième Guerre mondiale, une bonne partie du Royaume-Uni (et du monde) est encore engluée dans la vie d’avant. Celle de l’entre-deux guerres. Dans The Dig, c’est cette époque disparue qui refait surface… et de plus d’une façon.
À l’aube de la deuxième guerre d’Irak, Katharine Gun, une analyste du GCHQ, l’agence de surveillance du Royaume-Uni, a transmis une note de la NSA américaine demandant que l’allié britannique serve à faire pression sur les autres membres du Conseil de sécurité des Nations unies pour obtenir une résolution favorable à l’invasion réclamée par Washington. Le récit de ce geste et des conséquences qui en découlèrent se retrouve dans Official Secrets, un docudrame sorti l’an dernier.
Heureux celui qui découvre pour la première fois The Grand Budapest Hotel, comédie dramatique réalisée et coécrite par l’inimitable Wes Anderson. Merveilleuse porte d’entrée dans l’univers du cinéaste, cette oeuvre sortie en 2014 réussit un tour de force rarement vu ailleurs dans le septième art: nous faire regretter que le film ne dure que 99 minutes.