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Dans leur recherche, publiée le 27 novembre dans le Journal of Climate, les chercheurs estiment que la fréquence des événements extrêmes a augmenté de 17 % par degré Celsius supplémentaire, alors que le modèle climatique qu’ils ont utilisé comme base de comparaison prévoyait plutôt 11 %. 

Pour l’instant, en-dehors des développeurs des nouveaux modèles, peu de gens savent comment ils fonctionnent, ou plus précisément, « pourquoi un modèle d’IA fait la prévision qu’il fait ».

Poursuite de la guerre en Ukraine, instabilité sociale, voire émeutes en raison de l’inflation et des prix des produits de base très élevés, escalade des tensions entre Pékin et Washington à propos de Taïwan… les pierres d’achoppement pourraient être nombreuses en 2023.

S’il n’est pas possible de prévoir un ouragan avant qu’il ne se forme, on peut au moins calculer les probabilités saisonnières, sur la base des conditions propices à la formation de ces tempêtes.

L’intelligence artificielle (IA) pourrait donner un coup de pouce pour mieux comprendre les phénomènes météorologiques extrêmes, à partir des montagnes de données produites sur les réseaux sociaux. C’est ce que croit Renée Sieber, professeure agrégée au Département de géographie de l’Université McGill et auteure principale d’une étude récemment publiée.

Alors qu’on passe le cap du premier anniversaire du moment où un certain virus est devenu une réalité pour des millions de personnes, un journaliste a demandé à 10 experts à quel moment, l’an dernier, ils avaient réalisé que ça serait grave. «  Il y a 10 ans », lui a répondu le premier.

Les modèles épidémiologiques sont devenus une cible facile pour ceux qui veulent nier le bien-fondé du confinement: plusieurs de ces modèles, de l’Europe à l’Amérique du Nord, ont « prédit » un nombre de décès supérieur à ce qui s’est en réalité produit. Sont-ils à jeter au panier?

La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.