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Les chercheurs estiment que le trilobite n’était pas très regardant sur ce qu’il avalait. Il est même possible qu’il ait avalé indifféremment des bestioles mortes ou vivantes. 

Des analyses d’ADN peuvent aider à établir d’où provenaient les peuples qui utilisaient ces langues alors que les données archéologiques permettent de mieux comprendre comment certaines technologies se sont propagées dans le monde et d’estimer ainsi les mouvements migratoires qui ont propagé ces langues en Europe et en Asie.

Il faut se rappeler que si des os et des dents peuvent survivre pendant des centaines de millions d’années, il n’en est pas de même de la partie de leur contenu qui intéresse les biologistes: les gènes.

Selon les spécialistes, dans plusieurs sociétés de chasseurs-cueilleurs, les femmes étaient donc des chasseuses aguerries et jouaient un rôle essentiel dans le cadre de cette pratique, ce qui vient s’ajouter aux preuves contredisant les perceptions de longue date voulant que les rôles, dans ce type de sociétés, étaient répartis selon le genre.

Pour certains des experts qui ont commenté récemment, cette recherche met le dernier clou dans le cercueil de l’idée d’une « origine unique » des Homo sapiens. L’idée était contestée depuis longtemps, mais encore fallait-il le prouver.

Pour l’instant, c’est avant tout la technique qui intéresse les paléontologues: elle ouvre la porte à la possibilité d’identifier de l’ADN humain dans beaucoup d’autres objets, dont des outils de pierre, et peut-être même d’associer des traits culturels.