Parmi les régions où les dégâts sont les mieux documentés: l’ouest des États-Unis et le sud-est de l’Australie. Les prairies sont les plus affectées, tandis que les forêts boréales et tropicales sont en partie épargnées.
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De mauvaises conditions climatiques ont souvent provoqué des famines… et signé l’arrêt de mort de nombreux régimes dans l’empire du Milieu.
Cela fonctionne, donc, mais il y a un gros bémol. Chaque maison coûte au moins 1 250 000 $ US. Avec une trentaine de résidences complétées sur les 86 prévues, c’est hors de portée de la grande majorité de la population.
Rien que depuis le début de la décennie (2021-2024), c’était le 4e ouragan de catégorie 3 ou plus (l’échelle de Saffir-Simpson compte 5 niveaux) à frapper la partie continentale des États-Unis.
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Lorsque le courant-jet polaire de l’hémisphère nord glisse anormalement vers le sud, on assiste, dans des régions qui n’en ont pas l’habitude, à des températures anormalement froides en hiver —c’est ce qu’on s’est mis à appeler ces dernières années le vortex polaire.
Dans l’immédiat, d’ici la fin-juin, le mieux que Mexico espère, c’est qu’il pleuve. À plus long terme, qu’une prise de conscience similaire à celle des sud-africains permette de retarder l’échéance.
Même en l’absence d’ouragans, des températures de l’eau qui dépassent pendant plusieurs jours les 26 à 29 degrés Celsius signifient une multiplication par cinq des risques de précipitations extrêmes. Ce qui se traduit par des inondations, en particulier dans les îles des Antilles.
Dans leur recherche, publiée le 27 novembre dans le Journal of Climate, les chercheurs estiment que la fréquence des événements extrêmes a augmenté de 17 % par degré Celsius supplémentaire, alors que le modèle climatique qu’ils ont utilisé comme base de comparaison prévoyait plutôt 11 %.
Déjà, la simple « émergence » du phénomène a contribué à certains des records de température observés cet été et cet automne. El Niño devrait normalement atteindre son sommet pendant les premières semaines de 2024.