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Des représentants du régime de Damas sont arrivés vendredi à Genève pour des discussions visant à mettre un terme à la tragédie syrienne, mais le processus, parrainé par l’ONU, est fragilisé par l’absence des principaux groupes d’opposition, qui réclament des gestes humanitaires avant de rallier la Suisse.

Le président iranien, Hassan Rohani, est attendu mercredi après-midi en France, deuxième étape d’un voyage entamé lundi à Rome, qui marque le rapprochement spectaculaire entre l’Iran et les Européens depuis la levée des sanctions liées au nucléaire.

« C’est un vote de protestation », a affirmé le professeur de science politique à l’Université de l’Islande, Gunnar Helgi Kristinsson, suite à la victoire du Best Party le 29 mai 2010 aux élections municipales de la capitale islandaise. Une protestation de longue haleine si 47 % des Islandais ont pressenti l’ex-maire de Reykjavik comme futur président du pays, d’après un sondage du quotidien Fréttablaðið en 2014.

Plusieurs leaders européens, dont le premier ministre français Manuel Valls, ont espéré jeudi à Davos que l’Union parviendrait à éviter le « drame » d’un Brexit, une des nombreuses menaces qui plane sur le continent, aux côté notamment de la crise des migrants.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a averti mercredi les intellectuels qui ont signé une pétition dénonçant la violence des opérations de l’armée dans le sud-est à majorité kurde de la Turquie qu’ils paieraient le « prix » de leur « trahison ».

À la suite des attentats dans la ville d’Istanbul, mardi dernier, le célèbre linguiste a accusé le président de la Turquie d’hypocrisie de par ses politiques à l’égard de l’État islamique. Ce dernier a répliqué en le traitant d’ignorant.

Six personnes ont été tuées et 39 blessées jeudi dans le sud-est de la Turquie dans un attentat à la voiture piégée attribué aux rebelles kurdes, deux jours après l’attaque imputée au groupe État islamique (EI) qui a tué 10 touristes allemands à Istanbul.