Malgré de petits accrocs, Run de lait est un documentaire théâtral qui devrait être obligatoire pour l’ensemble des Québécois, qu’ils soient des politiciens ou de simples citoyens; après tout, cette industrie est intégrée à notre génétique, en quelque sorte. Raison de plus pour savoir comment elle fonctionne et ce qui la menace.
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L’environnement fut largement le parent pauvre des élections fédérales.
En cas d’absence de victoire claire pour l’un ou l’autre des partis en lice à Ottawa, trois scénarios sont envisageables, juge le professeur Hugo Cyr, de l’UQAM.
À 10 jours de la date du scrutin, impossible de déterminer le vainqueur de ce qui est maintenant une course à deux au pays, et à trois au Québec.
Pandémie, violence… La campagne électorale en cours est bien différente de la précédente.
En précipitant le pays en élections, Justin Trudeau ne pourrait risquer, au pire, que de se retrouver à nouveau à la tête d’un gouvernement minoritaire.
Sous l’appellation Wexit, les Québécois profiteurs d’une redistribution injuste des richesses à l’échelle canadienne se sont métamorphosés en modèle collectif pour atteindre l’indépendance. L’Alberta et la Saskatchewan, désignées comme l’Ouest, ont-elles ce qu’il faut pour y arriver?
La 43e campagne électorale fédérale canadienne aura débuté avec des attaques partisanes… et aura pris fin avec des attaques partisanes. Alors que 27 millions de Canadiens sont appelés à s’exprimer, lundi 21 octobre, les deux principaux partis en lice pour former le gouvernement, le Parti libéral (PLC) et le Parti conservateur (PCC), sont nez à nez dans les intentions de vote, après avoir consacré une bonne partie des 41 derniers jours à s’attaquer mutuellement.
Jamais, dans l’histoire des campagnes électorales canadiennes, n’a-t-il autant été question d’environnement. Sans être l’ultime priorité des principaux partis politiques, aucun parti ne peut aujourd’hui se permettre de faire l’impasse sur la question climatique. Tour d’horizon des propositions des principaux partis en la matière.
La réputation d’Alexandre Boulerice n’est plus à faire. Député de Rosemont–La Petite-Patrie depuis 2011, alors qu’il avait été porté par la vague orange, il a été réélu avec près de 50% des voix en 2015, loin devant ses adversaires de l’époque. Pour sa formation, le Nouveau Parti démocratique (NPD), la ferveur de 2011 semble toutefois moins présente. Rencontre à mi-parcours de la campagne électorale fédérale.