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De sa première représentation le 3 mars 1875 à aujourd’hui, Carmen de Georges Bizet, l’opéra le plus populaire de l’histoire est aussi celui qui multiplia les scandales. L’Opéra de Montréal achève sa saison avec une version de Carmen soignée et agréable, une belle mise en scène et des costumes magnifiques, des chanteurs excellents qui se font aussi bons acteurs voire danseurs, mais une version pour laquelle on pourra peut-être reprocher un certain manque d’audace. Le politiquement correct est aussi à l’œuvre.

Ce jeudi 2 mai, Kent Nagano, le directeur musical de l’Orchestre symphonique de Montréal, et André Robitaille, le porte-parole de l’été 2019 à l’OSM, ont dévoilé la programmation de La Virée classique. Cette 8e édition du festival se tiendra du 7 au 11 août 2019 et proposera une trentaine de concerts pour mélomanes de tous âges.

Pour la quatrième fois, la troupe Ciné Concert était de passage à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Vendredi et samedi soir dernier, on y présentait Harry Potter et la coupe de feu en concert symphonique, sous la baguette de la charismatique chef d’orchestre Sarah Hicks. 

La place des arts recevait vendredi soir une nouvelle visite du petit sorcier à lunettes et de sa bande dans le cadre d’un « ciné-orchestre » d’Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban. Devant un écran géant de 12 mètres, l’œuvre du compositeur John Williams prend vie devant nos yeux. La musique est interprétée en direct par un orchestre symphonique et un chœur; la piste audio du film lui-même ne contenant que le dialogue des acteurs.

Samedi soir, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, avait lieu la première de Roméo et Juliette, dans la version de Charles-François Gounod, créée en 1867, au Théâtre lyrique à Paris. Les autres représentations auront lieu les 22, 24 et 26 mai.

Nul doute possible quant à l’engouement suscité par ce conte de fées indémodable: c’était une salle Wilfrid-Pelletier derechef comble qui accueillit sur scène le Ballet national d’Ukraine en clôture de la saison 2017-2018, la même troupe qui avait subjugué le public montréalais avec son Mariage de Figaro le printemps dernier.

C’est une oeuvre dichotomique pour le moins audacieuse qu’aura offert le Eifman Ballet de Saint-Pétersbourg, mercredi soir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place-des-Arts, devant un auditoire conquis d’avance.

Samedi soir, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts, l’Opéra de Montréal présentait la Cenerentola, de Rossini : une adaptation du conte de Cendrillon, de Charles Perreault. Dans une mise en scène de Joan Font, la coproduction du Houston Grand Opera, du Welsh National Opera, du Gran Teatre del Liceu et du Grand théâtre de Genève, Cendrillon a fait salle comble.