Pour cette première partie du spécial halloween 2024, il faut se poser la question: 25 ans après sa sortie, le film scénarisé et réalisé par Daniel Myrick et Eduardo Sanchez tient-il toujours la route?
Browsing: peur
En fait, on ne voit pas Cher journal; une mutation. On va plutôt vivre l’oeuvre, la laisser entrer en nous pour quitter les estrades d’Espace libre et voyager, avec les interprètes, dans un monde aussi effrayant que porteur d’espoir, aussi sombre que lumineux, aussi vivant qu’en pleine décomposition. Quelque chose comme une grande oeuvre, en effet.
On ne peut pas s’empêcher de remarquer que plusieurs des théories du complot des dernières années sont ancrées dans une idéologie très conservatrice, et servent donc bel et bien des intérêts politiques : le déni des changements climatiques et de la gravité de la COVID, l’opposition à l’immigration, etc.
« Il existe une relation complexe entre les changements climatiques et les choix reproductifs, avec des différences au sein de différents pays du monde, ainsi qu’entre ces nations. »
Superbe hommage à Edgar Allan Poe porté par une distribution sans faille, The Fall of the House of Usher est non seulement une oeuvre idéale pour se faire peur, mais aussi – et surtout – la preuve qu’il est encore tout à fait possible de disposer d’une liberté d’agir pour produire du contenu aussi original que passionnant.
Hugo et Kevin se demandent si cette version étendue d’une scène tirée de Dracula, le roman de Bram Stoker, vaut la peine de se taper le mal de mer.
Le cerveau humain fonctionne comme un tout et non pas comme une addition de structures séparées. Aucun comportement n’est complètement contrôlé par l’instinct, les émotions ou la raison. De plus, tous les animaux partagent des structures cérébrales similaires, mais qui ont évolué de façons différentes.
« Ces travaux sont particulièrement importants, à un moment où bien des gens cherchent une solution à la polarisation toxique; les gens seront davantage portés à soutenir la démocratie lorsqu’ils ont moins peur de l’autre camp. »
« Le phénomène est lié à notre besoin de structure, de prévisibilité et de capacité de prendre des décisions. Les individus qui éprouvent ce besoin de façon importante tendent à trouver les valeurs relatives déplaisantes, en plus d’adhérer à des croyances dogmatiques, autoritaires et peintes en noir et blanc. »
Des médecins locaux ont déjà dénoncé la désinformation: la Dr Amy Edwards par exemple, directrice médicale adjointe de l’Hôpital pour enfants et nourrissons de Cleveland, explique qu’elle ne blâme pas les parents.