Si, à long terme, la lutte au réchauffement climatique devient une urgence pour limiter la multiplication de ces événements, à court terme, il existe des mesures qui peuvent être prises pour atténuer les effets.
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La campagne de partage des vaccins COVAX avait fixé comme objectif, pour la fin de 2021, une couverture vaccinale de 20 % dans les pays à faibles revenus. L’OMS avait plutôt enjoint les pays riches à viser 40 %. Le taux était plutôt de 2 % à la fin de 2021.
Le terme « pertes et préjudices » est apparu pour la première fois lors de la COP13, en 2007. Alors que les autres concepts – financement de l’adaptation, de l’atténuation, ou même financement de la transition vers les énergies vertes – ont depuis été pleinement acceptés, celui-là est demeuré dans les limbes.
« Ce moment est réellement unique, pour changer la conversation sur les données probantes en éducation. »
Déjà en 2021, l’initiative COVAX, mise sur pied en 2020 pour distribuer des vaccins aux pays du Sud, n’a pas atteint la moitié de son objectif de 2 milliards de doses.
En Afrique, pendant ce temps, seulement 16% de la population du continent a reçu une dose (ou plus).
Sommes-nous sur la bonne voie pour limiter le réchauffement planétaire et ses conséquences catastrophiques?
Les pays riches ont dépensé 151 fois plus pour combattre la COVID-19 que leur objectif (pas même atteint) en matière de financement climat.
Les pays pauvres pourraient devoir patienter encore deux ans, voire plus, avant d’avoir accès à des vaccins contre la COVID-19.
Plus de 400 millions de personnes ont reçu une première dose du vaccin. De ce nombre, 90% sont dans les pays les plus riches. Si la tendance se maintient, une bonne partie de la planète devra attendre 2022, voire 2023.