Peu importe ce qu’on pense de l’Homo naledi, ce pré-humain à l’âge inconnu et à la généalogie incertaine, dont des restes ont été retrouvés il y a quelques années dans une grotte d’Afrique du Sud, il fait l’unanimité pour une chose: il rend jaloux les paléontologues.
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Coup sur coup, deux manchettes en quelques jours font de nos lointains ancêtres, ou de nos lointains cousins, des migrants encore plus hardis qu’on ne le croyait. La première manchette donne aux « petits hommes » de l’île de Florès un ancêtre plus lointain qu’estimé jusqu’ici. Et l’autre manchette place rien de moins que des Néandertaliens en Californie, 100 000 ans avant l’Homo sapiens. Point commun aux deux recherches: beaucoup de scepticisme.
L’importance de la science est-elle une des rares choses qui fait consensus, peu importe que l’on soit de gauche ou de droite? C’est vrai, mais ça dépend de l’angle qu’on choisit: si vous êtes de gauche, vous préférez les sciences fondamentales, si vous êtes de droite, les sciences appliquées. Par contre, vous aimez tous les deux les dinosaures.
Les amateurs de dinosaures devront peut-être apprendre un nouveau mot: l’arbre généalogique de leurs bestioles préférées pourrait en effet être redessiné.
La disparition des dinosaures a-t-elle été provoquée par un impact de météorite ou par une activité volcanique intense? Les deux, répondent des chercheurs américains.
Des humains seraient arrivés en Floride il y a au moins 14 500 ans. Les mastodontes qui occupaient le territoire n’ont apparemment pas apprécié.
Deux nouvelles espèces de dinosaure à cornes ont été découvertes aux États-Unis, dont l’une par un amateur qui explorait la propriété qu’il venait d’acquérir.