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L’orchestre Mariinsky arrivait tout droit de Saint-Pétersbourg samedi soir dernier à la Maison symphonique, et ce serait un euphémisme que d’affirmer que le public montréalais les attendait de pied ferme. À l’occasion de ce concert hors-série, l’OSM prenait une pause afin de céder les planches à cet orchestre mythique de l’histoire de la musique moderne.

La formation montréalaise Half Moon Run se produisait mardi à la Maison symphonique pour un concert à guichet – très – fermé dans le cadre des séries OSM Pop. Cette série de concerts reprend le répertoire d’artistes influents du monde de la pop et marie leur répertoire avec une réinterprétation classique de l’orchestre symphonique.

Fantastique ouverture de saison, mardi soir à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal donnait, pour entamer sa 84e année de programmation, la célèbre symphonie « Des mille » de Gustav Mahler.

À la Maison symphonique de Montréal, le 5 juillet dernier, avait lieu une soirée plutôt spéciale. Il s’agit de la presque rencontre de deux mondes musicaux dans le cadre de deux festivals de musique concurrents : le Festival d’orgue de Montréal, associé au Festival international de jazz de Montréal. Le seul véritable objet commun entre les deux spectacles présentés ce soir-là? Le grand orgue Pierre-Béique, cette merveille issue du génie de Casavant Frères.

Après avoir offert l’Œuvre pour cuivres de Gabriele aux mélomanes invités, le Maestro Kent Nagano et la direction de l’OSM ont dévoilé une programmation transcendante pour leur prochaine saison lors d’une conférence de presse à la Maison symphonique de Montréal mercredi dernier.

L’heure était aux expérimentations musicales à la Maison symphonique, alors que le violoniste bien connu Joshua Bell était de passage à Montréal pour non seulement tirer de superbes notes d’un Stradivarius vieux de plusieurs siècles, mais aussi pour jouer – partiellement – le rôle de chef d’orchestre.

Il y a de ces instants où l’on se dit que la musique transcende tout le reste; où l’interprétation d’un morceau est si parfaite, si juste, que l’on se prend à penser que la musique n’est plus une invention humaine, mais plutôt quelque chose d’intemporel, qui a toujours existé. Et mercredi soir, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) a offert l’un de ces moments.

Matsuev est un habitué de l’OSM. On l’aura aperçu à quelques reprises sur les planches de la Maison symphonique ces dernières années, défendant la culture russe avec fougue et prestance. Hier soir ne faisait pas exception, car le pianiste émérite nous livra le sublime Concerto No. 2 de Prokofiev.

Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.