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On sait déjà que le pourcentage de décès de la COVID-19 est supérieur à celui de la grippe. Mais pour ceux qui trouveraient malgré tout que ce taux de mortalité est peu digne d’intérêt, qu’en est-il des impacts directs et à long terme de la maladie, qui la distinguent de la grippe saisonnière? Le Détecteur de rumeurs fait le point.

Selon une rumeur qui s’est répandue en plusieurs langues, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) aurait interdit les autopsies de patients morts de la COVID-19, dans le but d’empêcher une vérité de voir le jour. Au-delà du fait que la fausseté de cette affirmation peut facilement être démontrée, elle repose sur une méconnaissance des réels pouvoirs de l’OMS, constate le Détecteur de rumeurs.

Depuis le début de la pandémie, une grogne s’élève devant les communications de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pas facile, de communiquer les risques en temps de crise sanitaire, relève une récente étude exploratoire de chercheurs canadiens.

Le temps n’est plus aux accusations de manque de transparence, aux allégations infondées sur la possible origine du nouveau coronavirus dans un laboratoire américain ou chinois, ou encore aux rumeurs sur la course folle pour s’assurer qu’un État, plus qu’un autre, obtienne la plus grande part des premiers vaccins qui seront produits contre la COVID-19: les 194 pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont adopté mardi une résolution réclamant une « évaluation indépendante » de la réponse internationale, en plus d’exiger que le futur vaccin soit distribué de façon « équitable ».

Alors que plusieurs États commencent un déconfinement progressif, comment éviter une 2e vague de l’épidémie? Une des solutions qui a circulé serait de fournir des « passeports d’immunité » aux personnes qui auraient déjà contracté la maladie, une chose qu’on pourrait en théorie déterminer grâce à des tests d’anticorps.

Une journée après avoir annoncé que la planète était aux prises avec une pandémie de COVID-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme qu’il est encore possible de contrôler l’ampleur de la crise, et que la planète ne doit pas céder au désespoir.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS), engagée dans la lutte contre le coronavirus, la maladie qui a déjà fait plus de 560 morts et paralysé de vastes pans de la Chine, réclame la somme de 675 millions de dollars pour venir à bout de l’épidémie.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) devra décider mercredi, lors d’une réunion de haut vol, si la récente éclosion d’une épidémie d’un nouveau coronavirus en Chine doit désormais être traitée comme un cas d’urgence à l’échelle internationale. Cette prise de décision devra être effectuée alors que les autorités chinoises ont fait état d’au moins neuf morts et de plus de 500 cas de contamination. 

Les nouvelles concernant l’émergence d’un nouveau coronavirus, qui évoque le Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) de 2002 et 2003 ont beau ne pas être excessivement alarmantes, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dit garder un oeil sur la situation en Asie du Sud-Est, alors qu’on recense au moins un décès en Chine des suites de cette nouvelle maladie.