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Il n’y avait rien d’habituel lors de la première soirée de la série de concerts de l’OSM qui débutait le 15 mai dernier. Tout d’abord, nous devions entendre le pianiste russe Daniil Trifonov – soit l’un des plus brillants jeunes artistes de sa génération – interpréter le troisième concerto de Rachmaninov. D’autre part, nous retrouvions pour la première fois la jeune chef d’orchestre Karina Canellakis à la direction de l’orchestre.

Ce jeudi 2 mai, Kent Nagano, le directeur musical de l’Orchestre symphonique de Montréal, et André Robitaille, le porte-parole de l’été 2019 à l’OSM, ont dévoilé la programmation de La Virée classique. Cette 8e édition du festival se tiendra du 7 au 11 août 2019 et proposera une trentaine de concerts pour mélomanes de tous âges.

Si l’hiver complètement absurde qui s’est abattu sur le Québec depuis l’automne dernier ne donne aucun signe de vouloir calmer ses ardeurs, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), lui, n’a pas attendu Dame Nature pour tenter de sortir les amateurs de musique classique de leur léthargie hivernale en présentant, dimanche, le bien connu Sacre du printemps, de Stravinsky.

Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.

Au diable ces flocons pugnaces et cette pluie froide, place aux vertes forêts du centre du Vieux Continent, la semaine dernière, dans le cadre d’un concert rassemblant Schubert, Schumann et Dvorak.

L’heure était à l’émerveillement et à la lutte contre les éléments, mercredi soir à la Maison symphonique, alors qu’était donnée la Symphonie alpestre de Richard Strauss, dans le cadre d’un concert dédié au romantisme et à l’idéalisme de la fin du 19e siècle.

L’OSM présentait mercredi soir un concert dédié exclusivement à la musique de films de science-fiction, reprenant notamment au programme des grands classiques comme 2001 l’odyssée de l’espace, Star Wars ou encore Retour vers le futur. Sans tomber dans la facilité dans le choix d’un tel programme, l’orchestre livra une prestation appréciée des jeunes et moins jeunes spectateurs, mais l’interprétation de l’orchestre semblait, hélas, parfois peu inspirée.

Immensité des paysages nordiques: voilà le titre que la direction artistique de l’Orchestre symphonique de Montréal avait choisi de donner au concert du 25 avril dernier, à la Maison symphonique. En fait, trois des quatre compositeurs au programme peuvent être qualifiés de nordiques. Il s’agit de Jon Leifs, islandais, Uuno Klami et Jean Sibelius, tous deux finlandais. Le quatrième mousquetaire, pas nordique pour deux sous, Piotr Ilitch Tchaïkovski.

Ce dimanche après-midi, à la Maison symphonique, la scène était encombrée: il y avait dessus un piano et Maurizio Pollini. En fait, on pourrait dire que la salle au complet était remplie de M. Pollini et de son interprétation. Mais revenons un peu en arrière et énumérons le programme de ce récital organisé par l’Orchestre symphonique de Montréal.

L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.