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Un des éléments les plus inquiétants du rapport spécial du GIEC sur les océans et les glaces — ce rapport qui fait grand bruit depuis sa sortie mercredi matin — est que la fonte du pergélisol dans l’Arctique pourrait à elle seule expédier plus de 1400 milliards de tonnes de carbone de plus dans l’atmosphère d’ici 2100, soit le double de ce qui s’y trouve actuellement.

L’épave sous-marine la plus célèbre du monde est en train d’être « consumée par l’océan » et « renvoyée à son état élémentaire ». C’est la façon dont ont été présentées les premières images du Titanic en 14 ans.

L’aquarelle étant cette peinture légère sur papier avec des couleurs délayées dans de l’eau, le documentariste russe Victor Kossakovsky a troqué le pinceau pour la caméra afin de tourner Aquarela (2018). Documentaire filmé en 96 images-secondes et captant les sons des milieux aquatiques, les violoncelles du groupe de heavy métal finlandais Apocalyptica viennent amplifier le tout.

Alors que des scientifiques commencent à peine à percer les mystères de la faune sous-marine, l’industrie minière s’intéresse aux gisements riches de minéraux rares qui reposent au fond des océans. Pendant ce temps, la communauté scientifique s’inquiète des dommages que pourrait causer l’exploitation des gisements océaniques sur cet environnement fragile.

Si le transport de marchandises par bateau est plus « propre » que celui par avion, camion ou train, la marine marchande a besoin d’un coup de barre pour réduire son empreinte carbone, constatent le Détecteur de rumeurs et Unpointcinq. Quatre choses à savoir pour bien comprendre l’enjeu.

« Le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? », demandait le météorologue américain Edward Lorenz en 1972. Le fameux effet papillon, hypothèse fondatrice de la théorie du chaos, voulant qu’une variation même infime des paramètres d’un système complexe puisse produire des changements majeurs dans le système, fait des vagues ces jours-ci dans le domaine de l’océanographie.

Il y a longtemps qu’on sait que les océans absorbent le gros du trop-plein de chaleur qui résulte de l’effet de serre créé par nos activités. Mais la difficulté a toujours été de mesurer l’impact, en degrés Celsius, de cette absorption — une mesure pourtant fondamentale pour prévoir l’avenir. Or, plus la technologie se raffine et plus le total grimpe.