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L’OSM poursuit ces jours-ci un marathon de quatre concerts en trois jours sur le thème de la musique minimaliste dans lequel des compositeurs de ce courant musical sont jumelés à une l’un des symphonies de Haydn. Après Ravel, joué mardi soir, c’était le tour du compositeur Philip Glass ce mercredi soir.

Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.

Matsuev est un habitué de l’OSM. On l’aura aperçu à quelques reprises sur les planches de la Maison symphonique ces dernières années, défendant la culture russe avec fougue et prestance. Hier soir ne faisait pas exception, car le pianiste émérite nous livra le sublime Concerto No. 2 de Prokofiev.

Les cordes étaient à l’honneur vendredi dernier pour un concert attendu de l’Orchestre Métropolitain dirigé le chef-invité Kensho Watanabe et laissant libre court au talent de son premier violon, Yukari Cousineau. On y présentait les plus grandes œuvres de Felix Mendelssohn, le concerto pour violon No.2 en mi mineur et la symphonie No.3 dite « Écossaise ».

Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.

Le premier rendez-vous de la série montréalaise de l’Ensemble Arion se tenait du 29 septembre au 2 octobre, à la Salle Bourgie. Ces représentations inauguraient une nouvelle offre de l’ensemble à son public: des concerts d’une heure sans entracte, en fin de journée, les jeudis.

Du 20 au 27 août derniers, pour la troisième année, Concerts Ahuntsic en Fugue offrait aux mélomanes, une série de quatre concerts qui se déroulaient dans différents lieux du quartier Ahuntsic. De la musique française à la musique classique russe, en passant par la période baroque, ces présentations variées permettent aux auditeurs de faire connaissance avec une majorité d’interprètes d’ici.

Sous un ciel lourd et que l’on espérait menaçant, la Maison symphonique accueillait mercredi soir les musiciens de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) pour l’ultime concert du calendrier régulier, le War Requiem de Benjamin Britten.