Browsing: migrations

Des analyses d’ADN peuvent aider à établir d’où provenaient les peuples qui utilisaient ces langues alors que les données archéologiques permettent de mieux comprendre comment certaines technologies se sont propagées dans le monde et d’estimer ainsi les mouvements migratoires qui ont propagé ces langues en Europe et en Asie.

Les premiers humains à avoir atteint la Nouvelle-Guinée et le continent américain l’ont fait des milliers d’années plus tôt que ce que révèlent jusqu’ici les plus anciennes traces archéologiques.

Ce sont deux disciplines que tout séparait il n’y a pas si longtemps, et que les progrès technologiques sont en train de rapprocher: aux frontières de l’archéologie et de la génétique, voici l’archéogénétique.

« L’aigle a soudain envoyé des centaines de textos en attente, alors qu’il quittait le Kazakhstan pour entrer en Iran. » Ceci n’est pas une manchette d’un journal satirique, c’est le compte rendu des déboires rencontrés par des chercheurs qui avaient équipé d’un GPS cet aigle des steppes, et 12 autres, afin de pouvoir mieux comprendre les migrations de cet oiseau.

Depuis longtemps, l’analyse des squelettes préhistoriques et l’histoire des langues lèvent le voile sur l’arbre généalogique des migrations. La génétique y ajoute depuis peu son grain de sel. Dans le cas de l’Espagne, elle pourrait contribuer à examiner de plus près le caractère singulier des Basques et de leur langue.

Il traversait à pied une région des Alpes orientales, à 3200 mètres d’altitude. Il avait manifestement prévu marcher un bout de temps encore, à en juger par le contenu de son estomac, tel qu’il serait révélé par l’autopsie: parce que l’homme d’environ 45 ans avait été mortellement blessé au dos par un objet contondant, une heure seulement après avoir pris son dernier repas.