Browsing: migration

« L’aigle a soudain envoyé des centaines de textos en attente, alors qu’il quittait le Kazakhstan pour entrer en Iran. » Ceci n’est pas une manchette d’un journal satirique, c’est le compte rendu des déboires rencontrés par des chercheurs qui avaient équipé d’un GPS cet aigle des steppes, et 12 autres, afin de pouvoir mieux comprendre les migrations de cet oiseau.

Nos ancêtres semblent avoir profité d’un avantage « militaire » contre les hommes de Neandertal, nos cousins disparus. Une équipe de chercheurs japonais et italiens a ainsi découvert des preuves de l’existence d’armes mécaniques capables de tirer des projectiles en Europe il y a de 40 000 à 45 000 ans, soit 20 000 ans plus tôt qu’estimé.

Les changements climatiques ont peut-être d’ores et déjà engendré leurs premiers « réfugiés climatiques » en Amérique centrale. Et c’est une étude interne du gouvernement Trump qui est arrivée à cette conclusion, mais qui n’a pas été publiée.

Il est urgemment nécessaire de changer les méthodes de traitement des migrants en provenance d’Afrique du Nord qui traversent la Méditerranée, afin d’éviter la multiplication des morts liées aux dangers de l’océan et aux conditions de détention en Libye, affirment le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).

Depuis longtemps, l’analyse des squelettes préhistoriques et l’histoire des langues lèvent le voile sur l’arbre généalogique des migrations. La génétique y ajoute depuis peu son grain de sel. Dans le cas de l’Espagne, elle pourrait contribuer à examiner de plus près le caractère singulier des Basques et de leur langue.

Une analyse de la démographie de la ville de Chicago par catégories raciales démontre une tendance inverse à la migration émancipatrice de la population afro-américaine, rapporte l’urbaniste Pete Saunders dans le Chicago Reader du 24 janvier.

La population de papillons monarques en Californie était, en novembre 2018, de 86% inférieure au mois de novembre de l’année précédente.

L’ADN d’un squelette du Nevada vieux de 10 000 ans et l’ADN d’un squelette du Brésil vieux de 10 000 ans montrent des similitudes étonnantes. Assez pour que, conjointement avec d’autres nouveaux génomes préhistoriques, ils offrent le portrait d’une migration extrêmement rapide, dès que les ancêtres des Amérindiens ont mis pied sur le continent.