Pauvre Justin Kurzel, ce talentueux cinéaste australien qui a fait passer ses amitiés devant sa carrière, se ramassant dans le foutoir maudit qu’est l’adaptation cinématographique de la série de jeux vidéo Assassin’s Creed. Il s’agit aussi de la première production entière de Michael Fassbender, qui s’est plus impliqué que jamais dans un long-métrage, remettant en cause toute l’étendue de ce qu’on a jadis appelé du talent.