« La communauté internationale doit affirmer clairement qu’elle dénoncera et punira les mesures de répression et les attaques contre les journalistes, où qu’elles se produisent. »
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« Réduire le partage d’une théorie du complot au début, rien que par quelques points de pourcentage, peut être suffisant pour détourner une cascade. »
Guerre en Ukraine, coronavirus, TikTok… 2022 fut une année faste pour les menteurs sur le web. Mais les pourfendeurs des fausses informations veillaient aussi au grain.
Malgré tout, les médias sociaux sont jugés comme ayant une influence positive lorsque vient le temps d’influencer les décisions politiques dans un pays (61 % des sondés), d’attirer l’attention des élus (64 %), de changer l’opinion de la population à propos d’un enjeu politique ou social (65 %), ou encore d’attirer l’attention sur l’un de ces enjeux (77 %).
En 2019, une analyse appelée le Global Disinformation Index avait estimé à 250 millions par année les revenus des sites de désinformation, dont 40 % provenant de Google. NewsGuard estimait en 2021 ces revenus à 2,6 milliards, mais n’évaluait pas la part provenant de Google.
Des chercheurs et des journalistes pourraient tenter de prédire les fausses nouvelles qui vont émerger lors de la prochaine crise sanitaire afin de les « pré-déboulonner ».
Le procès annoncé n’a jamais eu lieu, sauf sous la forme d’une téléconférence par Zoom en février dernier, réunissant une vingtaine d’avocats antivaccins.
Lorsque la pandémie aura pris fin, ces groupes d’intérêt, et les réseaux qu’ils ont mis en place à travers les médias sociaux, seront encore là.
Dans son rapport publié le 3 juin, NewsGuard précise que les trois sites relayant de fausses informations les plus suivis sur les médias sociaux, tous trois anglophones, sont OANN.com, ZeroHedge.com, et OrganicConsumer.org.
Si une relation de cause à effet pouvait être établie, « cela pourrait suggérer des stratégies visant à réduire les conséquences de la dépression ».