À la fin de l’année dernière, le prix moyen du maïs était supérieur de 29 % à ce qu’il était en janvier 2021; pour le blé, un autre produit essentiel pour des centaines de millions de personnes, la hausse atteint les 34 %.
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Quel que soit le niveau réel de risque pour les humains, l’élevage du vison pourrait en payer le prix : déjà critiqué depuis longtemps par les défenseurs des droits des animaux, il risque à présent de se retrouver avec un argument de plus chez ceux qui réclament son abolition.
Au Canada, un sondage mené en 2021 auprès de 1000 travailleurs diagnostiqués pour COVID longue, avait conclu que la moitié d’entre eux avaient dû réduire leurs heures.
C’est donc toute la population qui est plus à risque d’être infectée. À ce sujet, il est trop tôt pour avoir des données sur l’efficacité des vaccins face à XBB.1.5, ou sur l’efficacité qu’aurait notre système immunitaire si on a été infecté par un autre variant.
Le coût fait également sourciller: celui de l’Aduhelm s’élèverait à 56 000$ US, un prix « injustifiable », lit-on dans le rapport de décembre. Tandis que celui du Leqembi — un partenariat entre la firme japonaise Eisai et Biogen — sera de 26 500$ (35 000$ CAN) par an.
Un autre problème s’ajoute : il y a moins d’études qu’au plus fort de la crise. Les données sur l’efficacité contre les variants BA.5 circulent encore parmi les chercheurs, alors que c’est le XBB.1.5 qui est déjà devenu dominant aux États-Unis.
Ces arguments étant généralement trop vagues, ou basés sur de mauvaises prémisses, voici quelques balises pour une discussion plus constructive.
Certains aliments semblent pouvoir ralentir le déclin cognitif. Il n’existe toutefois pas d’aliment-miracle et les experts suggèrent plutôt de favoriser de bonnes habitudes alimentaires en général.
Des médecins locaux ont déjà dénoncé la désinformation: la Dr Amy Edwards par exemple, directrice médicale adjointe de l’Hôpital pour enfants et nourrissons de Cleveland, explique qu’elle ne blâme pas les parents.
Personne ne perd de vue que, même dans le scénario optimiste où les virus ne s’additionneraient pas, il n’en demeurerait pas moins qu’au cours des trois dernières années, plusieurs systèmes de santé n’ont eu besoin que d’un seul virus pour être amenés au bord du point de rupture.