« L’incapacité de se loger est à la fois un produit et un facteur des inégalités raciales, et cela ne fait qu’empirer. Les ménages noirs et latinos de la classe ouvrière continuent de vivre de la ségrégation alors qu’ils sont injustement évincés des zones riches en opportunités qui amélioreraient leurs vies et celle des générations à venir. »
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Avant la pandémie, plus de 20 000 logements ou chambres ne se trouvaient plus sur le marché traditionnel, puisqu’ils se retrouvaient sur des plateformes locatives comme Airbnb.
La demande provoquée par la pandémie et les problèmes imputables à la COVID-19 continuent d’exercer une forte pression à la hausse sur les prix, partout au pays.
En devant se reloger après une catastrophe, les plus riches vont-ils provoquer une « gentrification environnementale »?
Les Berlinois pourraient faire pression sur le gouvernement fédéral allemand pour « nationaliser » quelque 240 000 logements.
En temps de pandémie, le lien entre logement et santé physique et mentale a été grandement mis de l’avant.
Depuis l’été dernier, les médias multiplient les reportages sur l’explosion des ventes de propriétés sur fond de pandémie dans la banlieue éloignée de Montréal, et jusque dans certaines régions touristiques. Le phénomène ne date pourtant pas d’hier, constate le Détecteur de rumeurs.
Les locataires australiens ont été très largement affectés par la COVID-19, en raison de la perte de revenus, de l’incapacité de payer leur loyer, ainsi que des risques d’expulsion, et une nouvelle publication de l’Australian Housing and Urban Research Institute (AHURI) propose une analyse des impacts de ces défis sans précédent.
Des normes un peu moins serrées pour les constructeurs d’immeubles, mais toujours cette volonté de « préserver l’équilibre » et ainsi permettre aux Montréalais de continuer d’acheter et de louer des logements dans la métropole, et ce à des prix raisonnables: l’administration Plante a dévoilé jeudi la nouvelle mouture de son Règlement pour une métropole mixte. L’annonce a fait réagir autant du côté des organismes communautaires que de la classe politique, sans oublier le milieu économique.
La crise canadienne en matière de logement ne date pas d’hier, et certainement pas de la mise en confinement de la population, dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Ainsi, en date de 2018, déjà, plus de 1,6 million de ménages d’ici éprouvaient des « besoins impérieux » en matière de logement, affirme Statistique Canada dans une récente note d’information.