Penseur universel, l’écrivain positionne Colette comme appartenant à la génération Z, avec sa force et ses prises de positions contemporaines. Car après tout, elle est la « première superstar queer de la littérature occidentale »!
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Doom Guy : Life In First Person est le récit de l’une des personnes ayant probablement le plus transformé le monde des jeux vidéo, mais aussi l’histoire d’une jeune équipe qui a tout changé, à plusieurs reprises, avant de s’essouffler. Un livre bien écrit, largement complet, qui intéressera les amateurs comme les mordus de l’industrie.
Premier Assaut est un incontournable pour tous les amateurs de science-fiction à la recherche d’une histoire épique, de personnages mémorables et d’un univers riche en détails.
Filtre d’amour est un roman policier qui passionne ses lecteurs dès les premières pages. Pascal Martin parvient à créer un univers vraiment crédible, avec des protagonistes réalistes et attachants, parfois détestables.
En somme, Le Royaume de Séraphin est bien plus qu’un simple roman. C’est une symphonie d’émotions, une odyssée qui transcende les générations et touche le cœur de chaque lecteur. Mélodie Ducoeur a créé une œuvre intemporelle, une offrande de beauté, de sagesse et d’espoir qui brille dans l’éther de la littérature.
Quoi qu’il en soit, Putain de mort frappe comme une tonne de briques. En moins de 300 pages, ont est davantage estomaqué et renversé qu’en trois heures de Kubrick et de Martin Sheen. Le tour de force est à la fois monstrueux et admirable. De la très grande littérature. Voire du journalisme littéraire.
Roman peut-être trop prudent, trop intériorisé pour son propre bien, Debout dans vos absences demeure une oeuvre douce, délicate, qui s’égrène lentement comme les pétales d’une marguerite que l’on détache délicatement. Un baume léger pour les coeurs meurtris.
Ce qui rend cette lecture inoubliable, ce sont les instants immersifs et les ambiances évocatrices qui fusionnent harmonieusement réalité et fiction.
Au final, un récit tout de même divertissant, mais émaillé de trop de clichés pour offrir quelque nouveauté aux lecteurs de polars avertis.
Il s’agit peut-être d’un premier roman, mais il est clair que Marie-Hélène Sarrasin a des lettres. En effet, par son goût de la fantaisie et de la légende elle emprunte délicatement mais sûrement à Jacques Ferron et à Michel Tremblay.