S’ils ne représentent évidemment pas l’ensemble des points de vue, les témoignages contenus dans Amours féroces sont tous pertinents, intéressants, prenants… déprimants, parfois, ou encore réjouissants. Bref, à l’image de la condition de mère elle-même, cet essai est complexe, tout en nuances. Et un bon ajout à cette conversation éternelle.
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Dans cette histoire qui n’est pas sans résonnance avec le chaos sociopolitique actuel d’Haïti, Sofia Blondin s’abandonne au roman teinté de vaudou et de « réalisme magique ».
Franchement original, autant de par son contexte que par les réflexions que suscite l’oeuvre, A Murder of Crows on the Wall est un roman tout à fait intéressant qui a sa place dans toute bonne bibliothèque qui se respecte. Espérons que l’auteur trouvera rapidement un éditeur.
L’histoire du monde par les cartes est un bijou d’équilibre entre la complexité, l’ampleur des sujets traités et la nécessité de tout caser en quelques centaines de pages, plutôt qu’en quelques centaines de milliers. Le tout articulé autour d’une mise en page magnifique. Que demander de plus?
Non, The Stormlight Archive n’est pas de la « grande » littérature. Ce n’est pas non plus tout à fait du niveau de The Song of Ice and Fire, d’ailleurs. Mais l’ensemble est accrocheur, souvent fortement prenant, et assez divertissant pour qu’on en redemande. Peut-être faut-il simplement consommer avec modération, qui sait?
Roman franchement bien ficelé, roman vrai, roman complet, Spatriati est une puissante réflexion sur l’être, le paraître et le sentiment d’appartenance dans un monde déstabilisé. Un ouvrage à ajouter impérativement à sa bibliothèque.
« En gros, nos résultats laissent entendre que malgré l’effet bénéfique de l’IA générative sur la créativité individuelle, il est peut-être nécessaire d’offrir une mise en garde, si ce genre de systèmes d’IA est employé plus largement pour accomplir des tâches créatives. »
La note du service de presse annonçait une démonstration érudite et il nous faut constater qu’on était dans le vrai. Cela dit, et bien que beaucoup de choses aient déjà été dites et débattues sur l’avenir du premier art, cet ouvrage sera très certainement utile à la poursuite des réflexions.
Quoi qu’il en soit, même si l’on peut effectivement détecter un certain occidentalo-centrisme, ce Noir sur blanc est une lettre d’amour bien sentie au genre policier, le tout rédigé d’une main de maître. Et pour les amateurs (ou les néophytes), on y fera certainement le plein d’auteurs à découvrir, entre deux ruelles sombres où l’on trouvera le prochain indice…
Si, dans l’ensemble, le guide est réussi – il regorge certainement d’informations, y compris des choses qu’on aurait de la difficulté à colliger « à la main », même en s’y connaissant en références en ligne –, des travers font sourciller.