La décision de laisser à la NASA la responsabilité de gérer le projet de lanceur spatial est-elle avant tout politique?
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Des orbites spatiales pourraient carrément devenir inutilisables pendant des années, voire des décennies.
Ce n’est pas moins d’une cinquantaine de conteurs et de conteuses qui participent cette année au festival.
Les ingénieurs travaillant en vue du lancement du télescope spatial James Webb, de la NASA, ont plié et « emballé » avec succès le bouclier solaire de l’appareil en vue de son voyage prévu d’environ 1,5 million de kilomètres, qui doit débuter plus tard cette année.
Deux ans après le lancement d’Andidote 10, l’avenir semble toujours aussi prometteur pour Druide informatique, l’entreprise notamment connue pour son célèbre correcteur orthographique. Et après un délai imputable à l’éclatement de la pandémie de COVID-19, voilà que la compagnie lance Antidode+, un service d’abonnement en ligne. Service qui ne signifie pas la fin de la déclinaison traditionnelle du logiciel, bien au contraire.
Le fait que quatre astronautes — trois Américains et un Japonais — soient partis dimanche pour la station spatiale internationale à bord d’une capsule et d’une fusée construites par une compagnie privée rappelle qu’un lent virage est en cours dans les vols spatiaux habités: un virage vers une place de plus en plus grande occupée par les compagnies.
Baldur’s Gate III est le projet le plus ambitieux du studio Larian à ce jour, mais aussi la suite d’une des séries de RPG les plus emblématiques jamais conçues. Baldur’s Gate demeure une référence incontestable dans l’univers des CRPG médiéval-fantastiques, l’étalon selon lequel on aura mesuré la qualité d’un Pillars of Eternity, d’un Pathfinder: Kingmaker, d’un Dragon Age…ou encore d’un Divinity: Original Sin, le précédent projet de Larian. La question est donc évidente: Baldur’s Gate III est-il le digne héritier de cette célèbre franchise?
Des guitares plus que distordues; du Eddie Grant et son Electric Avenue mêlé à une version sur les stéroïdes de We Are The Robots, de Kraftwerk; une pièce qui dure à peine 19 minutes… Le plus récent album de la formation Deerhoof, Love-Lore, dérange autant qu’il vient étrangement séduire.
L’agence spatiale américaine, la NASA, n’attend certainement pas la fin de la pandémie, sur Terre, pour continuer de rêver de retourner sur la Lune, libre d’humains depuis un demi-siècle: l’organisation a dévoilé jeudi les noms des trois entreprises qui héritent de contrats de près d’un milliard de dollars américains pour concevoir des engins et des atterrisseurs pour retourner sur notre satellite naturel.
C’était il y a quelques mois seulement, mais on a bien sûr l’impression que cela fait une éternité: vers la fin janvier, l’entreprise québécoise Typhoon Studios lançait Journey to the Savage Planet, un jeu d’exploration et d’aventure qui, en pleine pandémie, représente une échappatoire plus que bienvenu pour les joueurs.