Aux États-Unis, la question du mauvais état de santé de l’industrie médiatique ne sera certainement pas réglée avant la présidentielle, mais il ne fait aucun doute que le prochain occupant du bureau ovale aura à agir… ou cherchera à en profiter pour en tirer profit, selon l’identité du vainqueur.
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« Les ventes de voitures électriques sont en forte hausse, d’un océan à l’autre, avec 30% d’augmentation jusqu’ici, cette année. D’ailleurs, elles progressent encore plus rapidement au Québec, qui représente plus de la moitié de la croissance. »
« Aujourd’hui, le risque le plus important est l’élément humain – la désinformation, la propagande, la manipulation via les médias, les efforts ciblés pour faire en sorte que des populations précises votent ou ne votent pas, ainsi que les tentatives d’autres pays pour provoquer le chaos ou interférer dans nos élections. »
Au dire des auteurs des travaux, cette polarisation est « devenue partie intégrante » de la société américaine, potentiellement en raison d’une exposition à de multiples campagnes électorales au fil des décennies.
La crainte était pourtant grande qu’avec les avancées technologiques des deux dernières années, qui permettent de créer des images et des vidéos difficiles à distinguer des « vraies », la désinformation sur les réseaux sociaux ne s’en donne à coeur joie.
Données à l’appui, les spécialistes du Pew Research Center soutiennent que plus d’une majorité d’Américains souhaitent la fin de cette méthode électorale, et ce, depuis bientôt un quart de siècle. En fait, avec 63% d’appuis en 2024, cette mise au ban est à peine un peu plus populaire qu’en 2000, où 61% des participants favorisaient cette même solution.
Chose surprenante, les points de vue par rapport à la justesse et la véracité du processus électoral se sont carrément inversés, entre républicains et démocrates, entre 2020 et 2024.
65% des républicains croyant au « grand mensonge » à propos de 2020 estiment aussi que les États-Unis « risquent probablement », voire même « fortement » de plonger dans une guerre civile.
Avec la conclusion du congrès national du Parti démocrate et l’investiture officielle du ticket Biden-Harris, la course à la présidence des États-Unis passe à la vitesse supérieure. Un congrès hors norme, pour une course hors norme où les règles établies ne tiennent plus.
Un choix évident pour certains, pas assez progressiste pour d’autre; un choix consensuel, ou une décision « extrême »… Le candidat présumé des démocrates à la présidentielle américaine, Joe Biden, a choisi mardi la sénatrice démocrate Kamala Harris comme colistière. Cette dernière devient la première femme noire à faire partie d’un ticket présidentiel démocrate ou républicain.