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Quelque part, très loin dans l’espace, d’immenses épaves de vaisseaux spatiaux errent à la dérive. Il vous faudra pourtant les explorer, en découvrir les secrets, et espérer ne pas devenir des victimes des pièges et des horreurs que l’on y trouve. Si vous triomphez, vous pourrez mettre fin à cette vie de mercenaire, et quitter une fois pour toutes ces Deep Sky Derelicts.

Pour respecter les règles de distanciation sociale et les recommandations consistant à rester chez soi, quoi de mieux que de jouer à des jeux vidéo? Des données publiées par la firme Nielsen, et rapportées par le Hollywood Reporter, indiquent que la popularité de ce type de divertissement a bondi dans tous les pays où la firme a effectué son sondage, soit les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

S’il est loin d’être le premier jeu vidéo à conjuguer horreur et science-fiction afin de susciter le frisson, Moons of Madness possède toutefois la particularité de transposer ses cauchemars, qui semblent sortis tout droit de l’imagination de H.P. Lovecraft, sur la planète Mars.

Cessons, un moment, de parler de la destruction inévitable de la race humaine, une destruction que l’on espère longue, bien entendu, et transportons-nous plutôt dans l’univers d’AI War 2, un jeu de stratégie en temps réel développé par Arcen Games et sorti en octobre dernier, où cette disparition a déjà eu lieu. 

Envoyé préparer le terrain pour la future colonisation d’une nouvelle planète, vous devrez y survivre au moins neuf jours, en attendant que votre famille ne vous y rejoigne. Le hic? Les robots envoyés avant vous se sont rebellés. La faute à cette satanée intelligence artificielle… 

Appliquer la formule éprouvée du Battle Royale au combat aérien est une très bonne idée, mais malheureusement, à cause d’un manque de finition général, il est difficile de recommander DogFighter WW2, même si le jeu est gratuit.

C’est reparti pour un tour: trois ans après le premier volet, The Division 2 débarquait sur Xbox One, PlayStation 4 et PC. Après New York, c’est au tour de Washington D.C., la capitale américaine, de faire l’objet d’une lente reconquête par les agents de cette section spéciale du gouvernement chargée de restaurer une partie de ce qui s’appelait les États-Unis. Et comme la première déclinaison, le titre se veut ambitieux, mais déçoit, en bout de ligne.