Améliorant les mécaniques du premier opus et surtout les graphiques, A Plague Tale: Requiem continue d’offrir une expérience unique dans le monde du jeu vidéo, alternant entre survie, approche furtive et puzzles environnementaux. Si vous avez apprécié Innocence, vous adorerez cette suite.
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Alors, bon ou pas, cet Entropy Centre? Peut-être un jeu que l’on pourrait qualifier de slow burn, de succès sur le long terme. Après tout, il n’y a franchement rien de désagréable, dans tout ça, et en l’absence (très) prolongée d’un Portal 3, voici un possible remplaçant qui coche bien des cases.
The Case of the Golden Idol est donc à la fois un rappel de l’âge d’or des jeux PC, mais aussi une utilisation fort efficace du cadre d’un jeu du genre pointe et clique. Avec, à la clé, un divertissement fort efficace.
Vendu pour une dizaine de dollars de moins que son prédécesseur, Marvel’s Spider-Man : Miles Morales se contente principalement de prolonger l’expérience qu’est Marvel’s Spider-Man sans chercher à révolutionner quoi que ce soit, ce qui est décevant.
Ce sont les titres permettant de jouer en ligne qui obtiennent la faveur du public, alors que 71 % des répondants ont dit se tourner vers ce genre de jeux.
La vaste majorité des joueurs devraient éviter The Last Oricru, un jeu de rôle qui aurait gagné à demeurer en développement encore quelques mois.
Voilà donc où nous nous trouvons : la série est bonne, son écoute est agréable, mais on préfèrera peut-ètre justement se tourner vers ces autres oeuvres, ou vers le jeu vidéo, si l’on souhaite une expérience plus complète. À voir.
On sait dans quoi on s’embarque, en achetant un jeu comme Way of The Hunter. C’est dans le nom. Si on le compare à tous les jeux de tir à la première personne, c’est quelque chose de relativement niché. Mais si on le compare aux autres jeux de chasse récents (un échantillon un brin plus restreint), il n’a pas à rougir, loin de là.
Scénario épique, mécaniques parfaitement huilées, visuels sublimes, doublage impeccable livré par des comédiens de talent, trame sonore inspirée de Bear McCreary, tous les éléments contribuent à faire de Ragnarök une expérience supérieure au God of War de 2018.
En attendant que le titre soit suffisamment clair pour que ces premiers réseaux logistiques soient fonctionnels, force est d’admettre qu’il n’est pas recommandé de se procurer cette création pourtant prometteuse.