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Il y a films de zombies et films de zombies. Et si le genre a été saturé par quantité d’oeuvres proposant des variations plus ou moins intéressantes du thème central, ces dernières années, Overlord, mélange d’horreur et de film de guerre, prouve que s’en tenir aux ingrédients de base peut permettre de créer une oeuvre franchement intéressante.

Aussi divertissante qu’intelligente, la série Westworld compte parmi ce qui se fait de mieux au petit écran présentement, et si vous n’avez pas encore eu la chance de voir ce bijou télévisuel, sa sortie en Blu-ray, DVD et vidéo sur demande constitue le prétexte parfait.

Farandoles de mauvaises décisions, autant dans l’avancement du récit qu’au niveau de la réalisation, on a alors l’embarras du choix pour décrire ce qui ne fonctionne pas dans ce nouvel opus de la relance de Star Trek pourtant si bien avancée par J.J. Abrams, relégué ici au plan de producteur, trop occupé à se faire sa propre guerre des étoiles.

Il y a huit ans déjà, surfant sur le succès inestimable de la télésérie Lost qui a changé le visage de la télévision, le grand manitou qu’est J.J. Abrams a produit un mystérieux film qui non seulement a su redonner ses lettres de noblesse au found footage movie, avant que le genre ne dérape, mais a également su donner une carrière à des inconnus au grand talent. Nul doute que ce très efficace nouvel opus provenant des mêmes bases saura en faire autant.

Si l’événement cinématographique n’a pas besoin de présentations, ne faisons pas durer le suspense plus longtemps et annonçons immédiatement que J.J. Abrams a encore réussi avec grand brio l’impossible en redonnant vie à un intouchable de façon à satisfaire pratiquement tout le monde, des initiés aux non-initiés, des fans aux nouveaux venus, allant peut-être même à atteindre ceux qui n’en ont absolument rien à faire de toute la folie entourant Star Wars. Pendant presque la totalité de ses deux heures et quelques, disons que le septième épisode de la saga est un feu roulant de feux d’artifice pour l’enfant enfoui en chacun de nous.