Trois ans après l’éclatement la pandémie, les Québécois ne sont toujours pas aussi nombreux à aller voirs des films qu’en 2019. Le visionnement à domicile a-t-il réduit l’intérêt des cinéphiles?
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Ainsi, selon les données récemment publiées par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), voilà 10 ans que les libraires n’avaient pas enregistré de tels résultats, avec des ventes totales de 457,9 millions de dollars l’an dernier, soit une progression de 0,3% par rapport à 2022.
Au total, 84% des pièces les plus écoutées, l’an dernier, étaient de langue anglaise et interprétées par des artistes ne provenant pas du Québec.
Les ventes de vinyles, elles, surfent sur une vague qui ne semble pas près de s’arrêter. L’an dernier, il était donc question d’une croissance de 3 % par rapport à 2021. Au total, les vinyles représentent environ le quart des ventes d’albums physique, « du jamais vu en 20 ans », mentionne l’ISQ.
La quasi-totalité des parents québécois se disent satisfaits de leur rôle parental, tout comme ils…
Malgré une hausse de 61 % de la fréquentation des salles en 2022 faisant suite à une hausse équivalente en 2021, le nombre d’entrées dans les cinémas au Québec demeure inférieur de 39 % par rapport à 2019.
Les productions québécoises ont la cote : les films d’ici ont représenté 15 % des projections en salle, l’an dernier, soit un sommet depuis 2005.
Seulement 11 300 mariages ont été célébrés l’an dernier.
