Environ le quart des foyers britanniques comptant des enfants souffrent d’insécurité alimentaire, un phénomène alimenté par l’inflation, mais aussi par les compressions gouvernementales.
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En 2022, près de la moitié (48 %) des mères célibataires qui vivaient sous le seuil de la pauvreté et 40 % de celles qui se situaient au-dessus du seuil de la pauvreté étaient en situation d’insécurité alimentaire.
Le ménage canadien moyen a vu ses revenus augmenter de 16 %, entre 1999 et 2022. Mais la proportion du salaire consacrée au logement a bondi de 12 %, alors que les dépenses pour les soins de santé ont explosé de 35,6 %.
La faim touche ainsi toujours près de 350 millions de personnes réparties dans 79 pays. Et non seulement ces gens ne mangent pas suffisamment, mais souffrent carrément d’insécurité alimentaire aiguë, alors que « la sous-alimentation est en augmentation », mentionne-t-on par voie de communiqué.
Pour 2022, le financement des demandes de l’ONU n’a atteint que 47 % , en forte baisse par rapport aux années précédentes, alors que les dons atteignaient environ 60 à 65 % des montants réclamés.
« Une femme, tu lui fais gérer quelque chose, tu lui fais confiance, tu dis la fais croire: “tu peux y arriver”, elle va te sortir de grandes choses!. L’entrepreunariat n’est pas facile, mais si tu ne baisses pas les bras, tu ne te décourages pas, tu vas y arriver. »
Pour contrer l’impact que continue d’avoir, sur le marché alimentaire mondial, l’invasion de l’Ukraine par…
« Les prix des aliments, de l’énergie et des engrais montent en flèche, et encore davantage à cause de la guerre en Ukraine. Tout cela ne peut qu’engendrer des difficultés économiques, des troubles sociaux et des niveaux record de famine. »
Environ la moitié de la population du continent souffre d’insécurité alimentaire moyenne, importante ou extrême.
Elles arrivent par milliers: des familles de migrants originaires d’Amérique centrale, parfois même des enfants seuls. Leur but? Arriver aux États-Unis pour y trouver asile. Cette vague migratoire donne bien des maux de tête à l’administration Biden, toujours empêtrée dans la politique migratoire de l’ex-président Donald Trump, et qui peine à loger tous ces nouveaux arrivants dans des centres temporaires. Selon des chercheurs de l’Université Duke, cette fuite de migrants vers la frontière américaine s’explique par deux principaux facteurs: la violence qui sévit dans leur pays d’origine, ainsi que les impacts des changements climatiques.