Une étude publié en 2021, sous l’égide des Nations unies, a révélé que 34 % des émissions de CO2 provenaient du système alimentaire.
Navigation : impact environnemental
Devenir végétalien en hiver, au Québec, représente un défi: la plupart des fruits et légumes ont voyagé sur de longues distances. Serait-ce pire pour le climat qu’un régime omnivore avec des aliments produits près de chez nous? Le Détecteur de rumeurs et Unpointcinq ont examiné la question.
Une étude effectuée à l’aide de 94 000 choix de repas offerts en cafétéria a révélé que le fait de doubler les options végétariennes, en les faisant passer d’un sur quatre à deux sur quatre, avait permis de réduire les achats de repas riches en viande de 40 à 80% sans affecter les ventes de nourriture, au final.
La population estime généralement que les scooters électriques, ou les e-scooters, sont des moyens verts de se déplacer en ville. Une nouvelle étude de l’Université d’État de Caroline du Nord révèle que cela n’est pas si simple: ces trottinettes électriques partagées sont plus vertes que la plupart des voitures, certes, mais elles peuvent polluer davantage que d’autres modes de transport.
On ne passe pas d’une ère géologique à l’autre juste en criant « anthropocène ». Il y a maintenant plus d’une décennie que les géologues en débattent. Mais le comité désigné par leur communauté est à présent un peu plus près d’une décision.
Le constat semblait sans appel la semaine dernière: « la Terre a perdu 60% de ses animaux sauvages en 44 ans », a-t-on pu lire dans de nombreux médias. Pourtant, quand on lit le rapport qui a inspiré cette manchette, des nuances s’imposent, découvre sans surprise le Détecteur de rumeurs.
C’est une critique récurrente dans la lutte aux gaz à effet de serre: on ne s’attaquerait pas suffisamment aux voyages en avion, parce que le calcul est difficile à faire. À défaut d’établir un consensus, une nouvelle recherche a plutôt choisi de tenter d’évaluer l’impact du tourisme en général. L’empreinte carbone totale s’avère beaucoup plus élevée que prévu, et en forte croissance.
Ils sont là, en haute définition, au ralenti ou en accéléré, dans tout ce qu’ils ont de majestueux. Ce sont les animaux et les oiseaux qui peuplent notre monde, ceux qui occupent les déserts comme les océans, les jungles comme les montagnes. Présentés de façon majestueuse dans l’extraordinaire deuxième volet de la télésérie documentaire Planet Earth, à la BBC, ces voisins affublés de fourrure, de plumes ou encore d’écailles sont aussi plus que jamais menacés par l’activité du plus destructeur des mammifères: l’homme.