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En 2019, une analyse appelée le Global Disinformation Index avait estimé à 250 millions  par année les revenus des sites de désinformation, dont 40 % provenant de Google. NewsGuard estimait en 2021 ces revenus à 2,6 milliards, mais n’évaluait pas la part provenant de Google.

Ils sont jeunes. Enfin, ils le sont un peu moins. Mais ils portent toujours en eux le feu sacré, la volonté d’ébranler les colonnes du temple médiatique et de changer les choses. Voilà pourquoi ils lancent Prendre parole – Lettres de la (plus si jeune) relève journalistique, un collectif publié aux Éditions Somme toute, le sujet du 53e épisode du podcast Entretiens journalistiques.

Quand sait-on que l’on a mis au point quelque chose de très près du téléphone parfait? Pas le téléphone idéal, avec une pile qui durerait une semaine, ou le plus rapide des processeurs. Mais plutôt un téléphone efficace, qui dure un certain temps, qui tient bien en main et qui permet d’accomplir l’ensemble des tâches quotidiennes associées à ce genre d’appareil. Et heureusement, le Pixel 4a, de Google, s’approche très près de cette « perfection ».

On lui prête des intentions parfois malveillantes, ou du moins un désintéressement néfaste; ses pratiques commerciales font grincer des dents, notamment quand les créateurs sont confrontés à des changements soudains et coûteux. Et pourtant, lorsque vient le temps de s’informer, YouTube pourrait servir « d’égalisateur » pour les diverses plateformes médiatiques, révèle un récent sondage.

La semaine dernière, on pouvait trouver, grâce à Google, quelque 200 textes de vérification des faits sur le coronavirus, publiés en 15 langues par divers médias à travers le monde. Mais Google n’arrivait pas à faire ressortir ces vérifications très haut dans les résultats de recherches. 

Les plateformes numériques ont profondément transformé la façon dont nous consommons l’actualité. Il est souvent tenu pour acquis que l’utilisation des réseaux sociaux et des moteurs de recherche a eu un impact négatif sur la diversité des nouvelles auxquelles la population a accès. Cela est souvent attribué aux filtres algorithmiques utilisés par ces intermédiaires, qui n’affichent que les informations qui correspondent aux intérêts et préférences individuels. Une nouvelle étude prouve cependant que tel n’est pas le cas.

Attribuer des qualités similaires à celles des humains aux assistants virtuels pourrait pousser des gens à révéler davantage d’informations personnelles que prévu aux entreprises qui possèdent ces logiciels, selon une nouvelle étude.