L’ampleur des destructions, cette année, fait toutefois craindre un risque de sous-estimation, notait récemment le New York Times: le très grand nombre d’édifices détruits signifie que des centaines, voire des milliers de personnes, pourraient être toujours enterrées sous les décombres.
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En décembre, il avait été conclu que les 2 millions d’habitants de ce territoire faisaient face à une « insécurité alimentaire du niveau d’une crise ou plus ».
Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
La compagnie qui développe ce jeu vidéo, Bohemia Interactive, basée en République tchèque, a publié une note à ce sujet le 10 octobre — en fait, une mise à jour d’une note qu’elle avait publiée au début de la guerre en Ukraine.
La directrice de CNEWA Canada dit fonder beaucoup d’espoirs « dans la diplomatie canadienne, que notre gouvernement intervienne et nous donne la possibilité d’aider, d’avoir un impact positif et palpable. Parce que nous attendons d’avoir la permission d’aider ».
« Où est l’humanité ? Des millions de civils sont punis collectivement au vu et au su du monde entier. Rien ne peut justifier l’utilisation de la faim comme arme de guerre. »
Au manque d’électricité et d’eau potable pour 2,3 millions d’habitants s’ajoute à présent le risque de maladies causées par l’utilisation d’eau impropre à la consommation, en premier lieu la dysenterie et le choléra.
« Dans cette situation, l’aide est désespérément nécessaire. Des personnes ne sont pas seulement tuées lors des attaques, mais aussi à cause de maladies causées par des conditions insalubres. »
En 2013, des résidents de la Bande de Gaza annoncent une découverte archéologique majeure: une statue plus que millénaire du dieu Apollon, littéralement repêchée dans les eaux océaniques bordant le territoire enclavé. Pourtant, quelques semaines plus tard, l’oeuvre disparaît. Dans son documentaire L’Apollon de Gaza présenté dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), le cinéaste Nicolas Wadimoff tente de résoudre ce mystère.
Gaza isolée. Gaza sous les bombes. Gaza sous la pression de ses propres factions en proie à d’éternelles luttes intestines. Dans Gaza dans la peau, paru chez l’Aube noire, l’auteure Selma Dabbagh trace un portrait intimiste et puissant de cette bande de terre vouée aux gémonies, à la fois lueur d’espoir et épine dans le flanc de la cause palestinienne.