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Avec ces nuées de satellites vient un danger, celui des collisions mortelles dans l’espace. Un simple boulon tournant autour de la Terre à grande vitesse peut détruire un satellite… ou endommager la station spatiale internationale.

Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.

Il est acquis que, dans l’état actuel des choses, les coûts du SLS rendent impensable une poursuite du programme lunaire, au-delà d’Artemis 3, si du moins celui-ci ne doit dépendre que de cette fusée.

Ce n’est pas la première fois que des objets de fabrication humaine créent de tels petits cratères : les troisièmes étages des fusées qui ont mené là-haut les astronautes d’Apollo 13, 14, 15 et 17, ont longtemps tourné autour de la Lune, avant de s’y écraser.

En annonçant vendredi, le 16 avril, que la compagnie d’Elon Musk, Space X, était la gagnante de la course à la construction du futur véhicule lunaire, la NASA a laissé dans l’ombre deux questions importantes: pour combien de temps? Et qu’adviendra-t-il de la fusée lunaire?

Des astronomes ont découvert en septembre ce qui aurait pu être un de ces astéroïdes qui passent dangereusement près de la Terre… mais qui s’est avéré être un objet perdu depuis 54 ans.

Le fait que quatre astronautes — trois Américains et un Japonais — soient partis dimanche pour  la station spatiale internationale à bord d’une capsule et d’une fusée construites par une compagnie privée rappelle qu’un lent virage est en cours dans les vols spatiaux habités: un virage vers une place de plus en plus grande occupée par les compagnies.

La météo n’aura finalement pas eu raison de la volonté de la NASA, l’agence spatiale américaine, de reprendre les vols habités sur le territoire des États-Unis: la capsule Dragon, de l’entreprise SpaceX, a décollé sans encombre, samedi, après une première tentative, mercredi, remise en raison d’un trop grand risque de tempête. Dimanche après-midi, les deux astronautes à bord de l’engin sont venus rendre visite à leurs confrères déjà à bord de la Station spatiale internationale (ISS).

L’agence spatiale américaine, la NASA, n’attend certainement pas la fin de la pandémie, sur Terre, pour continuer de rêver de retourner sur la Lune, libre d’humains depuis un demi-siècle: l’organisation a dévoilé jeudi les noms des trois entreprises qui héritent de contrats de près d’un milliard de dollars américains pour concevoir des engins et des atterrisseurs pour retourner sur notre satellite naturel.