La composition d’un disque protoplanétaire, mais aussi l’emplacement des molécules chimiques, joueront un rôle important dans la capacité d’un nouveau monde d’abriter la vie.
Navigation : forme de vie
Une équipe dirigée par des chercheurs de l’Université de Washington vient de fragiliser un peu plus la théorie voulant que des formes de vie aient pu produire des traces de phosphine, un composé chimique qui ne devrait pas se retrouver dans l’atmosphère mortelle de la planète Vénus.
La Mer Morte n’est pas entièrement morte. Au-delà de ce jeu de mots facile, c’est une découverte de plus pour ceux qui cherchent des preuves comme quoi la vie peut survivre dans les environnements les plus hostiles.
Avec leurs 4 milliards d’années, elles figurent parmi les plus vieilles roches connues de notre planète. Et déjà à cette époque, elles auraient peut-être abrité de la vie.