Toni, en famille n’en demeure pas moins un feel-good movie brillant (souvent très drôle et très juste) et fort d’une lucidité riche à découvrir. Un long-métrage conçu avec un soin palpable qui nous fait passer, avec bonheur, par une large gamme d’émotions.
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Hugo et Kevin discutent d’APRÈS-COUPS, réalisé par Romane Garant Chartrand, de CELLES QUI LUTTENT, de Sarah Baril Gaudet, et de MADEMOISELLE KENOPSIA, de Denis Côté.
Par le biais de plusieurs programmes s’articulant autour d’enjeux importants (on pense au volet Voix autochtones et Focus France notamment), ce sera également l’occasion de découvrir quelques exclusivités de haut calibre, mais aussi de rattraper des films qu’on aurait pu manquer par le passé.
Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.
Film certainement efficace, film franchement bien tourné – avec une multitude d’inserts fort à propos –, The Killer est du David Fincher qui tourne comme David Fincher. Le résultat? Une oeuvre tout à fait intéressante qui s’inscrit dans une cinématographie aussi éclectique qu’intrigante.
The Marvels amuse par sa légèreté et sa facilité comme un bon blockbuster inoffensif devrait toujours le faire. Rapidement, bien sûr, on se fait rappeler que la saucisse fait partie de la grosse machine (la scène de mi-générique causera à égalité l’exaspération et l’excitation), mais au moins on aura ri et on aura eu du plaisir, ce qui était loin d’être toujours le cas, maintenant, quand on mentionnait Marvel.
Le livre des solutions demeure malgré tout une proposition soignée et immensément divertissante, fort d’une signature des plus personnelles, mais qui manque de peaufinage pour l’élever.
Il ne faut d’ailleurs pas se méprendre: d’un point de vue cinématographique, Je verrai toujours vos visages n’est rien de moins qu’une œuvre immense, magistrale.
Empoignez votre tasse et votre agrafeuse, et préparez-vous à venir au bureau, ce weekend.
Si Blue Beetle a raté son coup au box-office, ce n’est pas parce qu’il est mauvais, loin de là, mais simplement parce qu’à l’exception de sa saveur latine, le long-métrage ne propose rien qu’on n’ait déjà vu mille fois dans les autres films du genre. Pour cette raison, seuls les inconditionnels du personnage de Jaime Reyes et des histoires de superhéros y trouveront leur compte.