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Abordant les questions métaphysiques, c’est en Suède que le grand cinéaste russe Andreï Tarkovski (1936-1986) a tourné son dernier film The Sacrifice (1986) projeté au Cinéma du Parc. La théorie sur l’art de l’homme de lettres allemand Goethe (1749-1832) est un bon point de départ pour analyser cette œuvre testamentaire.

On le sait, Aaron Sorkin est de loin le scénariste le plus brillant et remarquable de sa génération, maniant l’intelligence comme personne et les mots et les dialogues comme un véritable dieu.

Si les comédies québécoises et les suites ont la cote, on mise toutefois sur l’originalité pour terminer l’une des années cinématographiques les plus lucratives depuis belle lurette. Reste à voir si les valeurs sûres sur lesquelles on mise sauront rallier le public pendant cette période où l’on aime tant se rassembler et… se cajoler.

Qu’on le veuille ou non, alors qu’on croyait l’avoir oublié, Antonio Banderas est en train de se recycler peu à peu en un genre de Jason Statham des séries B et a indubitablement du plaisir à jouer dans des productions inconnues dont personne n’a entendu parler.

Un peu à la manière de Tarantino, disons que le nom de Guillermo Del Toro possède une très grande influence en ce qui a trait au cinéma de genre. Le voilà de retour avec une œuvre qui risque de rendre sceptiques ses fidèles, mais jeter au plancher tous ceux qui jusqu’alors doutaient de lui. Il n’y a pas de doute, The Shape of Water est là pour plaire, coûte que coûte.

On the surface, Guillermo del Toro’s movies all have a similar feel, his trademarks are monsters, machines, and bucketlaods of slime.  His fascination for the weird and supernatural is ever-present in all of his works. Deeper down, for the most part, his movies are far kinder.

Avant de raconter des histoires, le cinéma est avant tout un art qui s’adresse à l’œil. Avec le documentaire Labrecque, une caméra pour la mémoire (2017) qui sortira en salles le 12 janvier, le directeur de la photographie et réalisateur québécois Michel La Veaux (Le Démantèlement (2013), Le Vendeur (2011), Ce qu’il faut pour vivre (2008)) rend hommage au cameraman québécois qui a aiguisé l’acuité visuelle de notre cinéma.