La cinéaste-militante romancière, à qui l’on doit les œuvres La femme qui fuit (Marchand de feuilles, 2015) et Femme forêt (Marchand de feuilles, 2021), prend son souffle en plein élan de la littérature.
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Dans cette histoire qui n’est pas sans résonnance avec le chaos sociopolitique actuel d’Haïti, Sofia Blondin s’abandonne au roman teinté de vaudou et de « réalisme magique ».
Penseur universel, l’écrivain positionne Colette comme appartenant à la génération Z, avec sa force et ses prises de positions contemporaines. Car après tout, elle est la « première superstar queer de la littérature occidentale »!
Au terme de la performance, Catherine Ringer délivre encore deux pépites de sa gorge vive, inextinguible : Un jour tu verras de Mouloudji et Je me suis fait tout petit de Brassens. Le désir de la garder tout près de nous, encore et encore, planait comme un parfum d’ivresse.
« Qui est écrivain québécois? Qui ne l’est pas… Il ne faut pas être dupe et se laisser diviser par les politiques et le racisme systémique mondial. Moi, j’ai envie du collectif! », clame Alain Farah.
Écrire en cette époque quelque peu assombrie socialement ne tarit en rien l’élan de la plume de Loui Mauffette. Ce bouillon de conscience sociale qu’il admire n’est pas sa tasse de thé. Son engagement artistique s’inscrit ailleurs. Pas question de faire la morale à son public !
L’heure est au face-à-face avec les mots d’Ingeborg Bachman. Une voix d’ailleurs qui résonnera en fragments allemands dans l’enceinte du Conservatoire d’art dramatique de Montréal.
Une petite salle. Une salle minuscule, en fait. Et un public plus que réduit, le bas du visage mangé par le masque obligatoire. Pandémie ou pas, rien n’empêche cependant Mathieu Arsenault, seul sur scène, de se livrer à un réquisitoire endiablé contre le côté « gnan-gnan » de la culture et de notre société de consommation. Fort heureusement, d’ailleurs, car cette Vie littéraire tombe à point nommé.
Pour sa 23e édition, le Festival international de la littérature (FIL) a opté pour le thème « rencontre de l’autre », du 22 septembre au 1er octobre.
Ils sont partout, et on les croirait innombrables. Employés pour recharger les multiples appareils électroniques qui s’accumulent sur les tables de chevet, les bureaux et les comptoirs de cuisine, les câbles USB sont aussi répandus que les câbles électriques traditionnels.