« Ce n’est pas seulement la fin de l’édition papier du samedi. C’est la fin du papier tout court, une tradition vieille de plus de 125 ans au Soleil. »
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« Les Canadiens doivent avoir accès à des nouvelles de qualité, fondées sur des faits et c’est pour ça qu’on a déposé la Loi sur les nouvelles en ligne. Les géants du web doivent être plus transparents et rendre des comptes aux Canadiens. »
Pour leur premier congrès sur place depuis la pandémie, les journalistes de la FPJQ s’attaquent aux tentatives visant à les faire taire. Le président Michaël Nguyen fait le point à l’émission.
L’annonce publiée par Olivier Primeau, propriétaire du Beach Club de Pointe-Calumet, dans la région de Montréal, aura fait grand bruit: des postes de journalistes payés… 5$ le texte. L’affaire a scandalisé bien des membres de la profession, à juste titre. Ce faisant, la délicate question des conditions de travail a été ramenée à l’avant-plan.
Les temps sont durs pour les journalistes. En plus de devoir compenser les pertes de revenus croissantes attribuées aux médias sociaux et aux confinements successifs provoqués par la COVID-19, voilà que cette même pandémie alimente le sentiment anti-journaliste au sein d’une certaine frange de la population.
Les impacts de la pandémie de coronavirus se font ressentir dans la quasi-totalité des sphères d’activité économique, y compris du côté de l’information. Durement touchés par les fortes baisses de revenus publicitaires, plusieurs médias ont dû remercier des collaborateurs, voire carrément licencier une bonne partie de leur personnel. Pour venir en aide à ces reporters et autres travailleurs affectés, la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) annonce la mise sur pied d’une cellule de crise.
Pour sauver le journalisme de toutes les menaces qui rôdent, il faudra non seulement convaincre le public de payer pour obtenir une information de qualité, mais carrément convaincre ces personnes de vouloir simplement s’informer.
La crise des médias est aussi une crise de précarité. Cela, Simon Van Vliet le sait très bien. Le président de l’Association des journalistes indépendants du Québec et le collaborateur au média hyperlocal Pamplemousse travaille à améliorer les conditions de travail des journalistes indépendants – et, par le fait même, de tous les travailleurs autonomes.
À l’image de plusieurs journalistes s’étant tourné vers les réseaux sociaux pour exprimer leur mécontentement, voire leur colère, la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) a vivement dénoncé, jeudi, l’intervention de la Sûreté du Québec (SQ) menée mercredi soir dans les bureaux du Journal de Montréal. Cette perquisition a mené à la saisie de l’ordinateur et de documents appartenant au journaliste Michaël Nguyen.