L’étude, publiée dans The Journal of Travel Research, souligne l’existence d’une relation complexe entre le tourisme de guerre, le volontariat et le voyeurisme, sous la forme d’un « tourisme de guerre hybride ».
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Une étude, parue le 16 janvier dans Health Communication, rappelle que ces influenceuses sont particulièrement populaires auprès des adolescentes et jeunes adultes en quête d’informations sur leur sexualité.
Si la marche est haute, c’est aussi parce que l’information fausse est parfois rassurante : « L’anxiété accroît notre désir de trouver une certaine certitude… La mésinformation nous (offre) des réponses simples, des méchants incontestables, des remèdes miracles et une assurance, qui nous donnent le sentiment de contrôler la situation. »
Le simple fait que le logiciel soit gratuit pourrait en faire une aubaine pour les fermes de trolls, en Russie ou ailleurs.
Guerre en Ukraine, coronavirus, TikTok… 2022 fut une année faste pour les menteurs sur le web. Mais les pourfendeurs des fausses informations veillaient aussi au grain.
Malgré tout, les médias sociaux sont jugés comme ayant une influence positive lorsque vient le temps d’influencer les décisions politiques dans un pays (61 % des sondés), d’attirer l’attention des élus (64 %), de changer l’opinion de la population à propos d’un enjeu politique ou social (65 %), ou encore d’attirer l’attention sur l’un de ces enjeux (77 %).
Un « déménagement » vers Mastodon — alternative souvent citée depuis deux semaines — serait possible pour la communauté scientifique, mais il est loin d’être sûr que le grand public la suivrait.
Facebook est la plus importante plateforme, lorsque vient le temps de partager de fausses nouvelles; le réseau de Mark Zuckerberg représente plus de la moitié des gens partageant ces mensonges dans chaque pays sondé.
Pour leur premier congrès sur place depuis la pandémie, les journalistes de la FPJQ s’attaquent aux tentatives visant à les faire taire. Le président Michaël Nguyen fait le point à l’émission.
En 2019, une analyse appelée le Global Disinformation Index avait estimé à 250 millions par année les revenus des sites de désinformation, dont 40 % provenant de Google. NewsGuard estimait en 2021 ces revenus à 2,6 milliards, mais n’évaluait pas la part provenant de Google.