Que dirait Walter Benjamin, aujourd’hui, des œuvres entièrement conçues sur des ordinateurs, voire par le biais de l’intelligence artificielle? C’est à cette question que nous fait réfléchir l’artiste Amer Rashid dans une exposition – installation présentée au Dépanneur café dans le Mile End, à Montréal
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Au-delà de son aspect contemplatif, FRAMERATE : Pulse of the Earth pose un regard critique sur les changements environnementaux exacerbés par la présence humaine et sur la documentation perpétuelle de nos environnements par le biais de la technologie mise à la disposition de tous.
Que retenir de Basquiat au terme de ce cycle au MBAM? Une certaine nostalgie d’une jeunesse carburant aux platines, certes, mais surtout, un nouvel éclairage sur un être dont les études des chercheurs de l’art n’ont pas encore circonscrit.
Basquiat aurait-il apprécié cette musique? Il n’y a pas à en douter. D’ailleurs, Basquiat aimait toutes les musiques, du be-bop au classique Beethoven, du hip-hop à Ravel, du jazz à la musique aléatoire de John Cage…
Si le passé est au centre de l’exposition, le propos semble tourné vers l’avenir. Jacques Newashish confirme : « Ce qui m’a influencé fait ce que je suis. » Ce sont des étapes qu’il utilise aujourd’hui. « J’essaie d’entrevoir l’avenir, mais l’avenir n’est pas là », remarque-t-il.
Certes, il n’est pas le premier photographe de presse, en quelque sorte. Et il y a fort à parier qu’il ne sera pas le dernier. Il n’en reste pas moins que l’animateur d’Infoman présente ici le fruit d’une réflexion éditoriale qui va généralement au-delà du ton majoritairement bon enfant de son émission.
L’histoire de Montréal se retrouve dans le sang qui circule dans les veines de ses résidents. Et cela, Pointe-à-Callière l’incarne sans coup férir.
L’objectif de l’exposition? Représenter la femme noire « de manière diverse, abondante, colorée et visionnaire ».
Pour sa première exposition avec son père, l’artiste Alexis Vaillancourt veut faire sa place, tout en assurant une certaine continuité avec l’oeuvre de celui qui l’a précédé.
À 45 ans bien sonnés, le Stade olympique est toujours bien solide sur ses fondations, et représente même une part importante du patrimoine urbain de la métropole.