« Parmi les changements, on pourrait développer des espaces verts au niveau de la rue, des jardins verticaux et sur les toits, ou même des forêts, le tout pour protéger la population urbaine contre la chaleur extrême. »
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Après avoir auto-édité un ouvrage avec ses œuvres, James Dean Trépanier rêve de créer une exposition numérique dans la métropole, où les différents clichés de chaque station pourraient être répartis selon les lignes de métro existantes.
Ultimement, Montréal vise le consensus, et c’est très bien comme cela. Et puisque l’exposition est permanente, il y a fort à parier qu’elle pourrait être bonifiée au fil du temps, si nécessaire. Dans l’état actuel des choses, on se prend à découvrir ou redécouvrir un aspect ou un autre de cette agglomération qui a commencé à quelques mètres du fleuve Saint-Laurent, un endroit aujourd’hui situé dans les sous-sols d’un autre musée, Pointe-à-Callière.
On ressortira de Vice, vertu, désir, folie en se disant qu’on vient certainement de naviguer à travers un univers artistique exceptionnel, un aperçu de l’opulence et du faste de la société européenne, au cours de trois siècles de profondes transformations de l’Occident. Une exposition à voir. Impérativement.
Ancrée le passé, la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours est aussi résolument tournée vers l’avenir, comme le démontrent l’audace et la diversité présentes dans cette nouvelle exposition. À voir.
Impressionnante, riche en enseignements, aussi prolifique qu’efficace, l’exposition Olmèques et les civilisations du golfe du Mexique est une occasion hors du commun de découvrir un pan de l’histoire de notre comportement trop souvent passé sous silence.
Exposition frondeuse, exposition nécessaire, cette rétrospective Marisol a cela de bon qu’elle rappelle que oui, les musées peuvent encore étonner, surprendre et aller jusqu’à nous couper le souffle. Et c’est tant mieux!
L’exposition Banksyland est ridicule parce qu’elle est ridicule, tout simplement. Et ses organisateurs s’en mettent malgré tout plein les poches, alors qu’ils devraient plutôt avoir honte. Il n’y a rien de plus à dire.
Encore cette année, l’exposition nous ouvre les yeux sur différents enjeux planétaires. Impossible de demeurer de glace devant toutes ces histoires à la fois si lointaines et si rapprochées.
Malheureusement, la chose tient de l’occasion manquée. Oui, tout aborder était impensable, puisque le sujet est presque aussi vaste que la société humaine en général. Mais on aurait apprécié que l’on aille davantage au fond des choses, plutôt que de rester bêtement en surface.