Browsing: épidémie

La santé publique répète depuis le début de l’épidémie que la meilleure façon de se protéger contre le coronavirus est de se laver les mains fréquemment. En parallèle, les gels désinfectants sont devenus une denrée rare dans les magasins. Lequel des deux est le plus efficace pour se débarrasser des virus? Le Détecteur de rumeurs a vérifié. 

La panique face à une épidémie fait de bonnes images à la télé. Mais la complaisance est, en réalité, davantage répandue, et peut faire davantage de dommages.

Pendant qu’on parle de coronavirus, une autre épidémie, partie d’Arabie saoudite, atteint à présent l’Afrique de l’Est et l’Asie du Sud: une épidémie composée de milliards de criquets pèlerins, appelés aussi sauterelles du désert, comme on n’en a pas vue depuis un quart de siècle.

Les nouvelles inquiétantes sur une percée du coronavirus en Corée cette semaine — une centaine de cas —, ou au Japon — ses deux premiers décès coup sur coup — masquent deux réalités encourageantes: le nombre de nouveaux cas quotidiens est peut-être en train de ralentir. Et dans 80% des cas, l’infection est sans gravité. 

La semaine dernière, on pouvait trouver, grâce à Google, quelque 200 textes de vérification des faits sur le coronavirus, publiés en 15 langues par divers médias à travers le monde. Mais Google n’arrivait pas à faire ressortir ces vérifications très haut dans les résultats de recherches. 

Derrière le fait de partager une fausse nouvelle sans l’avoir vérifiée, il y a souvent un biais de confirmation: dès qu’on croit à quelque chose, on a plus de chances de partager une nouvelle qui confirme notre croyance. Or, derrière la vague de fausses nouvelles entourant le coronavirus, se dissimule souvent un racisme sous-jacent.

Depuis la semaine dernière, des journalistes vérificateurs de faits de 30 pays ont déboulonné des rumeurs et des fausses nouvelles sur le coronavirus qui sévit en Chine. Trois tendances se dégagent: un vaccin miraculeux, des fausses données sur l’origine de la maladie et des théories du complot. 

Lancé en grande pompe en 2016, The Division, développé par Ubisoft et ses studios affiliés, permet aux joueurs d’explorer les mystères et d’affronter les dangers d’une ville de New York désertée et infestée à la suite d’une épidémie de variole. Cherchant à porter trop de chapeaux à la fois, le titre est amusant, mais aussi particulièrement clinquant.

Une épidémie de peste pourrait-elle avoir éradiqué la première population d’agriculteurs européens, il y a 4900 ans? C’est l’intrigante question qui se pose après la découverte, dans un cimetière suédois, non pas d’ossements, mais du génome de…bactéries.