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Quelques mois après l’excellent – et particulièrement mélancolique – album Realign, la formation new-yorkaise Red Vox propose un mini-disque d’à peine quatre titres intitulé Lost For A While. Et si, tout comme le précédent effort, les pièces ont techniquement été composées et (possiblement) enregistrées avant la pandémie, difficile de ne pas tracer de parallèles avec la situation actuelle.

Ah… la France! L’Europe entière, en fait, avec son charme, son histoire, ses échos musicaux qui résonnent dans les rues encore pavées à l’ancienne… Avec son mini-album Un vieux chien, le guitariste et chanteur français Andre Bachleda donne envie de voyager, et d’aller s’installer à la terrasse d’un café.

Le nouveau disque du trio montréalais Velvet Noise, Vertigo, est bon. Le mot ne dit rien; il dit tout. Lancé il y a un peu plus d’une semaine, ce disque court – doit-on dire long jeu, comme à l’âge d’or des vinyles? Doit-on plutôt parler de disque, tout simplement? – évoque la beauté, la douceur, mais aussi une certaine mélancolie.

Un album… Un album que l’on pourrait peut-être décrire comme quelque peu bigarré? Quand les vents, première déclinaison musicale du duo Joli-Bois, débarque sur les tablettes des marchands de disques, et force est d’admettre que si le résultat est fort agréable, la forme force la réflexion.

La formation montréalaise Vanille se lance dans l’arène musicale avec un premier mini-album de cinq pistes intitulé My Grandfather Thinks I’m Going to Hell. Le trio formé de Rachel Leblanc, Vincent Huard-Tremblay et Victor Tremblay-Desrosiers débarque avec de la musique rock un peu sucrée qui s’écoute bien. Très bien, même.

Ian Kelly a habitué son public à des chansons à saveur acoustique, une mélodie de guitare sèche et une voix remplie d’émotion. Reprenez ces éléments, ajoutez-y des composantes électroniques remixées et vous avez le produit final qu’est Superfolk Remixes.

Les chevaliers de la Table ronde munis d’épées devenues des sabres laser. Merlin l’enchanteur déguisé en personnage outrun avec des verres fumés et des espadrilles, le tout éclairé par des néons à la nuit tombante. Un album qui mélange sonorités électroniques et monde fantastique aux créatures magiques. Que demander de plus?

Il est toujours délicat de se prononcer sur des EP: ces mini-albums contiennent d’habitude une poignée de pièces à partir desquelles il est difficile de dresser un portrait critique complet. Plus complet, enfin, que ce qu’il est possible de tirer de quatre ou cinq chansons envoyées en hâte aux journalistes culturels.