Animée par un optimisme serein, Marie-Andrée Lamontagne insiste sur le succès du festival, « vaisseau amiral de la Fondation Metropolis bleu » qui lutte contre le décrochage scolaire et l’analphabétisme, auprès des jeunes comme des adultes, en plus de rassembler autour du plaisir de lire et d’écrire.
« Ce que j’aime dans Brel, c’est qu’il y a des moments d’émotion, mais aussi des textes tellement puissants qui racontent des choses toujours actuelles, aujourd’hui. »
Le journalisme scientifique continue d’avoir de beaux jours devant lui. D’autant plus que le public est au rendez-vous.
Pour souligner la sortie de ce long-métrage d’aventure et de lancers de dés s’inspirant d’un court-métrage culte, le réalisateur Édouard Tremblay s’entretient avec Hugo Prévost et Kevin Laforest.
« Cela fait vraiment partie de la marque, en fait, de démontrer la diversité humaine, et pour moi, puisque c’est une marque de lingerie érotique, je trouvais ça encore plus important, car je crois qu’on ne voit pas assez de représentation, lorsque l’on parle d’érotisme, de sensualité… »
« Ce n’est pas un film, mais nous allons puiser dans cet imaginaire-là pour créer quelque chose qui est très théâtral, au final. »
L’exercice, même s’il peut inquiéter, alors que les machines semblent prendre de plus en plus de place dans le monde de la création et de la réflexion, pose les jalons de la réflexion plus que nécessaire sur la vitesse des percées technologiques, sur ce qui nous distingue vraiment comme êtres humains, et sur le besoin de se réinventer pour préserver qui nous sommes.
Que retenir de Basquiat au terme de ce cycle au MBAM? Une certaine nostalgie d’une jeunesse carburant aux platines, certes, mais surtout, un nouvel éclairage sur un être dont les études des chercheurs de l’art n’ont pas encore circonscrit.
Pour le 23e épisode de Pixels et préjugés, Hugo Prévost s’entretient avec Sébastien Berton, lead designer pour le jeu Season : A Letter to the Future, de l’entreprise montréalaise Scavengers Studio.
Dans le cadre du 80e épisode d’Entretiens journalistiques, celui qui se définit comme un communicateur répond aux questions de Hugo Prévost à propos de l’art de prendre son temps et du fait de se tailler une niche dans le paysage médiatique.
