Plus de 40 millions de personnes dans le monde se trouvaient l’an dernier soumises à une forme d’esclavage moderne, c’est-à-dire en situation de travail forcé ou de mariage contraint.
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L’écran solaire en vaporisateur de la marque Banana Boat peut-il brûler la peau des bébés et des enfants, comme l’ont relaté de nombreux articles de journaux depuis le mois de mai?
Après les tableaux interactifs intelligents, les écoles québécoises trouveront-elles un intérêt à investir dans l’achat de robots? C’est ce que croit le titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et de la communication, Thierry Karsenti.
Près d’un enfant sur sept est
soumis à de très hauts niveaux de pollution qui sont
susceptibles de perturber sa croissance, montre une étude
publiée lundi par le Fonds des Nations unies pour l’enfance
(Unicef).
L’organisation onusienne lance un appel aux dirigeants de la
planète, qui doivent se retrouver du 7 au 18 novembre au Maroc
pour la COP22 de Marrakech, afin qu’ils réduisent l’utilisation
des énergies fossiles, autant pour ralentir le dérèglement
climatique que pour améliorer les conditions de vie de la
population mondiale.
Selon l’Unicef, 300 millions d’enfants vivent dans des zones
où la pollution atmosphérique s’élève à au moins six fois le
niveau recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Sur ce total, 220 millions vivent en Asie du Sud.
Selon le directeur général de l’Unicef, Anthony Lake, la
pollution de l’air est l’un des « principaux facteurs expliquant
la mort de près de 600.000 enfants de moins de cinq ans chaque
année ».
« Non seulement les particules polluantes ont un effet sur le
développement des poumons, mais elles sont susceptibles de
traverser la barrière hémato-encéphalique et de perturber de
manière définitive le développement de leur cerveau », a-t-il dit
dans un communiqué.
« Les plus pénalisés par la pollution de l’air sont les
enfants pauvres », souligne de son côté Nicholas Rees,
spécialiste du climat et de l’analyse économique pour l’Unicef.
Selon l’OMS, la pollution atmosphérique a tué 3,7 millions
de personnes dans le monde en 2012 dont 127.000 enfants âgés de
moins de cinq ans. Parmi les sources de pollution, elle
identifie les usines, les centrales électriques et véhicules
fonctionnant avec des énergies fossiles, la poussière et
l’incinération de déchets.
La pollution de l’air intérieur, souvent imputable au
chauffage au charbon où aux cuisinières à bois, est encore plus
mortifère puisqu’elle est accusée d’avoir tué 4,3 millions de
personnes, dont 531.000 enfants de moins de cinq ans, en 2012,
dit encore l’OMS.
Écrire que c’est la mère qui transmet l’intelligence est une bonne façon d’attirer des lecteurs. Mais une telle affirmation fait abstraction de la complexité de la génétique… et de l’intelligence, dont le développement est tout autant, sinon plus, influencé par des facteurs familiaux, sociaux et économiques.
Au-delà des larmes, il demeure difficile de dépister les symptômes de dépression chez les enfants et les adolescents. De nombreux questionnaires tentent de cibler les enfants en détresse en adaptant les questions des adultes avec des termes plus simples. « La pêche aux symptômes s’avère souvent hasardeuse et l’on court le risque de ramasser trop de jeunes dans ses filets, par peur d’en laisser échapper », annonce Cécile Rousseau, chercheuse en psychiatrie sociale et culturelle à l’université McGill.
Comme des milliers d’autres enfants de la rue de New Delhi, Jyoti Kumari connaît bien les coulisses de la vie chaotique et parfois brutale des plus jeunes laissés-pour-compte de la capitale indienne.
Vous souvenez-vous du temps où le Petit Chaperon rouge traversait la forêt avec dans son panier une galette et un pot de beurre? Eh bien, oubliez: dans une version américaine revisitée par le lobby des armes, la fillette emporte également… une carabine.