La concentration de méthane dans l’atmosphère serait en augmentation. Bien qu’il soit encore difficile de séparer la part humaine de la part « naturelle » de ce gaz dans l’atmosphère, les observateurs constatent que le méthane avait atteint, en 2019, un niveau record de 1875 parties par milliard, plus de deux fois et demi ses niveaux d’avant l’ère industrielle.
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Le géant de l’informatique de Redmont veut se mettre au vert: Microsoft a annoncé jeudi son intention d’amener son bilan carbone à « zéro » d’ici 10 ans. Mieux encore, affirme l’entreprise, en utilisant des méthodes de captation des émissions polluantes et en améliorant son efficacité énergétique, Microsoft sera en mesure, d’ici 2050, « d’annuler son bilan carbone entier, depuis sa fondation en 1975 ».
Le rapport qui, la semaine dernière, a confirmé que la quantité de gaz à effet de serre dans l’atmosphère continue de croître et ne montre aucun signe d’approcher un sommet, contenait une seule bonne nouvelle: le charbon est à la baisse.
L’avertissement est clair: si les gouvernements de la planète n’adoptent pas des politiques plus strictes en matière de production de combustibles fossiles, ils rateront d’au moins 50% la cible établie pour respecter le réchauffement maximal de 2 degrés de la température moyenne, en vertu de l’accord de Paris sur le climat.
Jamais, dans l’histoire des campagnes électorales canadiennes, n’a-t-il autant été question d’environnement. Sans être l’ultime priorité des principaux partis politiques, aucun parti ne peut aujourd’hui se permettre de faire l’impasse sur la question climatique. Tour d’horizon des propositions des principaux partis en la matière.
Devant l’immobilisme de nombreux États, voilà que de grandes entreprises s’engagent à réduire largement leurs émissions polluantes, le tout en prévision du Sommet de l’ONU sur le climat, qui aura lieu à la fin septembre, à New York.
L’Arctique se réchauffe deux fois plus rapidement que le reste de la planète, ce qui provoque le dégel du pergélisol, gelé depuis des dizaines ou des centaines de milliers d’années, ainsi que le relâchement de méthane dans l’atmosphère, contribuant du même coup au réchauffement planétaire. Les conclusions d’une étude rassemblant entre autres des chercheurs de l’IIASA, l’Institut international pour l’analyse des systèmes appliqués, portent toutefois à croire qu’il est encore possible de neutraliser cette menace.
Des « sursauts radio rapides » venus des profondeurs du cosmos, mais qui ne durent que quelques millièmes de seconde, c’est déjà intrigant. Mais lorsqu’on en a deux qui, chacun, se répète une deuxième fois, ça devient une énigme.
En 2019, en dépit des meilleures intentions, la demande en énergies fossiles va continuer de croître. En fait, toute la question sera plutôt de savoir si la croissance va ralentir…